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Choix de bac pour une Cote R très mauvaise


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Après quelques recherches sur le web et sur le forum, j'ai pu constater que concernant l'UdeM, le dernier collégien convoqué aux entevues de médecine en 2009 avait 33.801, ce qui est supérieur à la cote r requise pour l'année 2016.
 
Pour la médecine dentaire, en 2009 le DERNIER collégien admis avait 32.937... Dans ce cas, dire qu'en 2009 il était plus facile d'être admis me paraît quelque peu démesurable.
 
En 2013, le dernier candidat en cours de baccalauréat convoqué avait 35,461 et en 2014 : 37,597
 
Cette augmentation notable n'est pas principalement causée par le niveau des candidats qui devient de plus en plus élevé, mais est dû au fait qu'en 2014, il y a eu une inflation des cotes. Les CRU calculées sont devenus significativement plus élevés et les cotes de coupure également. Donc tout est relatif.

 

On pourrait donc dire que le 33-34 de CRU d'aujourd'hui équivaut en quelque manière au 32 de CRU datant d'avant 2014.

 

 

 

En ce qui concerne l'inflation des notes, ça touche principalement quelques programmes. Par exemple, en 2011/2012 un de mes amis a été admis avec un 4.07/4.3 en psychologie (qui lui avait donné environ 34.5 de CRU), lors de mon application l'année dernière, pour un 4.04, j'ai obtenu environ la même cote (et pas d'entrevue), donc dans mon cas on parle pas d'une grosse inflation, et c'est la même situations pour beaucoup de programmes.

 

En 2012, c'était plus facile d'être admis dans la catégorie non connexe que connexe (mais pas une grande différence), depuis 2014, on parle d'une différence de quasiment 2 points entre les catégories. Je me souviens qu'à l'époque, des gens avec 3.9/4.3 provenant de programmes comme bio/psy/histoire étaient admis, maintenant ce n'est plus le cas. Et si on regarde la progression des appliquant, il y a une augmentions linéaire d'année en année en ce qui concerne le nombre d'invididus qui appliquent en médecine (sur l'ensemble du Québec). 

 

Sachant qu'en plus, le gouvernement veut diminuer les places en médecine dès l'année prochaine, on peut s'attendre à ce que le niveau de difficulté pour être admis en médecine (ainsi que dans les autres programmes contingentés par effet "ricochet") continue à augmenter dans les années à venir. Dans le cas de l'UdeM, et spécifiquement pour médecine, j'ai l'impression que c'est rendu beaucoup plus compétitifs pour les gens "non-connexes" et "en cours de baccalauréat". Pour la catégorie "connexe", je crois que la difficulté est assez similaire.

 

P.S on peut aussi voir un phénomène similaire pour les programmes de pharmacie et de médecine dentaire. En 2015, un 34.5 était "safe" pour recevoir une admission, maintenant on parle de gens avec 37 de "CRU" qui sont refusés sans waitlist et d'une moyenne d'environ 35 pour les appliquants de la dernière cohorte (et probablement de cette année).

 

P.S Et comme l'a démontré Hayley, bien que le calcul de l'UL est toujours de le même depuis quelques années, un 31-32 de CRU était suffisant pour être admis au DMD et au MD il y a environ 4-5 ans. Maintenant on parle d'un cut-off de casiment 33 pour médecine et de 32.xx pour dentaire. Ça devient donc de plus en plus compétitif.

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Pour quelle raison tu dis ça au juste ?

Il semblerait qu'en 2009 il fallait avoir 36 de CRU pour être convoqué en cours de bac, ça ne fait pas un "grand" changement par rapport à aujourd'hui

En général c'était plus facile de se faire admettre en 2009 qu'aujourd'hui. En plus de toutes les raisons mentionnées ci-haut (et sans vouloir sembler pessimiste):

  • Parce qu'en 2009 l'UdeM et l'UdeL n'exigeaient pas que les étudiants provenant d'une autre université aient un bac complété. Oui, la catégorie en cours de bac était plus contingentée mais il était néanmoins possible d'appliquer si on provenait d'une autre université.
  • Parce qu'en 2009 c'était vrai que "fait ce que t'aime, donne ton max pendant 3 session pis t'auras acces à tous les programmes sauf MD puisqu'il te faut un bacc (à moins davoir 36 de cote) pour que tu sois consideré". Ce n'est plus comme ça en 2017 malheureusement (notamment à cause des IFG). Perso j'ai 3 sessions en administration à 4.26, mais une cote R tres faible au cegep et je sais d'avance que c'est peine perdue pour cette année. Pour reprendre les propos d’un membre du forum;

« L'admission dans les Universités francophones au Québec est tellement bidon et stupide... aucune zone grise, des programmes aux cotes boostées en fonction de la cote R des étudiants provenant du Cégep qui appliquent dans ces programmes, tout ça dans le but de se donner le moins de trouble possible à apprendre à connaître les candidats et sauver de l'argent. C'est désolant de voir que c'est comme ça qu'on sélectionne nos futurs médecins. »

 

3. Aujourd'hui les candidats présentent pour la plupart des dossiers académiques parfaits, ex. il n'est pas rare de voir des applicants avec des cote R de 33-34 au cegep puis trois sessions à 4.3 en physio.

 

Sur ce, dans n'importe quel processus qui débute avec plusieurs centaines (voir milliers) de candidats et qui en retient seulement une centaine au final (entonnoir), le facteur chance semble indéniable.

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Bonjour, je suis présentement en quatrième session au gécep et ma cote r se résume à 26.298. Je suis au courant que c'est extrêmement affreux comme côte, mais disons que j'ai fais mon possible considérant que je me suis retrouvé aux soins intensifs à l'hôpital pour apprendre que je suis diabétique de type 1 (yay...lol).

 

J'ai déjà fait plusieurs demandes dans divers programmes comme le génie biomédicale à poly, mais j'arrive pas à enlever la médecine de ma tête...

 

Alors est-il possible pour moi de récupérer de ces affreuses notes au moyen d'un bac (comme sciences biomédicales, biochimie, sciences biologique) pour pouvoir peut-être un jour devenir ''docteur'':p. J'ai aussi lu plusieurs des postes sur ce sujet et pouvez-vous me dire concrètement c'est quoi l'IFG et son importance dans le choix d'un bac?

 

Finalement, plusieurs personnes m'ont dit que seulement le bénévolat des deux dernières années avant l'application en med étaient pris en considération. J'espère que c'est pas vrai parce que j'ai déjà fait 200 heures de bénévolat à un hôpital mais cela il y a 3 ans :mad: . Pis c quoi faire de la recherche clinique comme bénévolat?

 

/merci :D

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1.Parce qu'en 2009 l'UdeM et l'UdeL n'exigeaient pas que les étudiants provenant d'une autre université aient un bac complété. Oui, la catégorie en cours de bac était plus contingentée mais il était néanmoins possible d'appliquer si on provenait d'une autre université.

 

Le fait qu'avant 2015, l'UdeM n'exigeait pas que les étudiants provenant d'une autre université aient un bac avant de pouvoir appliquer en médecine, ne signifie en aucun cas que tu aurais eu des chances significativement plus élevées afin d'être admis car le nombre de candidats acceptés était similaire, soit de 8 personnes...

 

2.Parce qu'en 2009 c'était vrai que "fait ce que t'aime, donne ton max pendant 3 session pis t'auras acces à tous les programmes sauf MD puisqu'il te faut un bacc (à moins davoir 36 de cote) pour que tu sois consideré". Ce n'est plus comme ça en 2017 malheureusement (notamment à cause des IFG). Perso j'ai 3 sessions en administration à 4.26, mais une cote R tres faible au cegep et je sais d'avance que c'est peine perdue pour cette année. Pour reprendre les propos d’un membre du forum.

 

 Pour l'université de Montréal toujours, et peu importe le programme "tremplin", avec un 4.26 et un minimum de 45 crédits, tu peux toujours avoir des chances qui sont, dans ce cas, significativement élevèes pour être admis dans tout les programmes sauf MD.  J'ai en tête un étudiant de musique ayant été accepté en optométrie, qui est un programme hautement contingenté.  Donc le " fait ton max pendant 3 sessions pi t'auras acces à tous les programme sauf MD" est toujours valable pour l'udem.  Néanmoins, il existe des programmes plus avantageux que d'autres et certains à éviter, mais cela a toujours été le cas.

 

L'IFG bien qu'il soit grandement important dans le calcul de la cote r, n'est pas le seul facteur déterminant. Comme preuve,certains programmes universitaires qui sont de base faiblement contingentée donnent des cote r plus élevés que d'autres ayant un contingentement élevé. ( pour UdeM). 

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Donc pour avoir des chances de rentrer en médecine avec une cote R faible du cegep vous conseiller quel programme en définitif ?? Sciences Bio , neurosciences ...????

Les options varient selon ta cote.. Ergo Nutrition et physio sont de bons choix (parmi les meilleurs), mais sont quand même contingentés. Biomed, biochimie, kin et biologie sont aussi des bons choix, je pense, si tu n'as pas la cote pour nutrition/physio. Je ne connais pas de gens qui ont fait neurosciences vers médecine. Par contre, ce programme a possiblement une bonne CRU à Udem, puisqu'il est quand même contingenté (plus que bio et biochimie).

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Les options varient selon ta cote.. Ergo Nutrition et physio sont de bons choix (parmi les meilleurs), mais sont quand même contingentés. Biomed, biochimie, kin et biologie sont aussi des bons choix, je pense, si tu n'as pas la cote pour nutrition/physio. Je ne connais pas de gens qui ont fait neurosciences vers médecine. Par contre, ce programme a possiblement une bonne CRU à Udem, puisqu'il est quand même contingenté (plus que bio et biochimie).

J'ai 2 amis qui arrivent du bac en neurosciences qui sont en première année de médecine à UdeM! D'après eux, c'est très possible de faire le switch, mais il faut avoir un intérêt pour le cerveau sinon le bac est lourd et très long!

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J'ai 2 amis qui arrivent du bac en neurosciences qui sont en première année de médecine à UdeM! D'après eux, c'est très possible de faire le switch, mais il faut avoir un intérêt pour le cerveau sinon le bac est lourd et très long!

C'est ce que je me disais, que le bac doit être bien coté. Sais tu ils avaient quel GPA?

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1.Parce qu'en 2009 l'UdeM et l'UdeL n'exigeaient pas que les étudiants provenant d'une autre université aient un bac complété. Oui, la catégorie en cours de bac était plus contingentée mais il était néanmoins possible d'appliquer si on provenait d'une autre université.

 

Le fait qu'avant 2015, l'UdeM n'exigeait pas que les étudiants provenant d'une autre université aient un bac avant de pouvoir appliquer en médecine, ne signifie en aucun cas que tu aurais eu des chances significativement plus élevées afin d'être admis car le nombre de candidats acceptés était similaire, soit de 8 personnes...

--> J'ai dit qu'il était néanmoins possible d'appliquer; Au moins on pouvait avoir une idée de notre cote calculée par l'UdeM. Je n'ai jamais parlé de chances "significativement plus élevées"...

 

2.Parce qu'en 2009 c'était vrai que "fait ce que t'aime, donne ton max pendant 3 session pis t'auras acces à tous les programmes sauf MD puisqu'il te faut un bacc (à moins davoir 36 de cote) pour que tu sois consideré". Ce n'est plus comme ça en 2017 malheureusement (notamment à cause des IFG). Perso j'ai 3 sessions en administration à 4.26, mais une cote R tres faible au cegep et je sais d'avance que c'est peine perdue pour cette année. Pour reprendre les propos d’un membre du forum.

 

 Pour l'université de Montréal toujours, et peu importe le programme "tremplin", avec un 4.26 et un minimum de 45 crédits, tu peux toujours avoir des chances qui sont, dans ce cas, significativement élevèes pour être admis dans tout les programmes sauf MD.  J'ai en tête un étudiant de musique ayant été accepté en optométrie, qui est un programme hautement contingenté.  Donc le " fait ton max pendant 3 sessions pi t'auras acces à tous les programme sauf MD" est toujours valable pour l'udem.  Néanmoins, il existe des programmes plus avantageux que d'autres et certains à éviter, mais cela a toujours été le cas.

 

L'IFG bien qu'il soit grandement important dans le calcul de la cote r, n'est pas le seul facteur déterminant. Comme preuve,certains programmes universitaires qui sont de base faiblement contingentée donnent des cote r plus élevés que d'autres ayant un contingentement élevé. ( pour UdeM). 

 

--> J'ai mentionné "notamment à cause de l'IFG". Notamment ne signifie pas uniquement (en voici la définition; "d'une manière qui doit être relevée, particulièrement, spécialement, entre autres").

--> comme tu l'as dit:  "pour l'Udem"
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--> J'ai dit qu'il était néanmoins possible d'appliquer; Au moins on pouvait avoir une idée de notre cote calculée par l'UdeM. Je n'ai jamais parlé de chances "significativement plus élevées"...

 

-Je ne sais pas en quelle langue je pourrais te le dire , mais en 2009 il était également difficile de rentrer en médecine dans la catégorie en cours de baccalauréat, il fallait aux alentours de 36 de CRU. Un 36 de l'époque valait beaucoup plus qu'un 36 d'après 2014...

 

-Visiblement tu ne semble pas être au courant, mais tu peux toujours avoir une idée de ta cote r calculée par l'UdeM.

 

--> J'ai mentionné "notamment à cause de l'IFG". Notamment ne signifie pas uniquement (en voici la définition; "d'une manière qui doit être relevée, particulièrement, spécialement, entre autres").

--> comme tu l'as dit:  "pour l'Udem"

 

-Je viens de te prouver par A+B que c'est toujours possible de faire 3 sessions dans la très vaste majorité des programmes et être admis partout sauf en MD. Donc ton argument de L'IFG ne tient pas à la route. Pour être un peu plus directe, tu es à coté de la plaque... L'IFG a toujours été pris en compte que ce soit en 2009 ou aujourd'hui.
 
-Pour être clair et concis, si tu n'arrives pas à rentrer en médecine, ne penses pas que tu aurais pu le faire en 2009. J'imagine que nous avons assez fait le tour du sujet, Il ne sert strictement à rien de s'attarder sur le passé, concentres-toi davantage sur ton futur, en trouvant le moyen le plus efficace pour être admis en MD.
 
Bonne chance à toi.
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Je pense que c'est un raisonnement fallacieux que de dire qu'il n'aurait pas pu être admis en 2009 s'il n'arrive pas à rentrer en médecine en 2016.

Au contraire Clap, je pense que PremedMD a 100% raison, car si on 2016 il n'a pas pu se démarquer des meilleurs et ce frayer une place en med/pharma/... pourquoi il l'aurais plus fait en 2009.Selon moi si tu t'adapte au ''critère'' de sélection,c'est à dire tu prend le programme avec le plus haut IDF possible et que tu prend le temps de finir ton bac et (...) et que tu y met l'effort, ça devient encore plus facile que ça ne l'étai en 2009, car on possède justement ces informations qui nous permettent de nous surpasser et de partir chercher toutes les points que nos capacité et compétences nous permettes d'aller chercher.

Alain Ducasse : Parce que la compétition est féroce et la connaissance est à la portée de tous, aujourd'hui,     l' important, c' est de courir plus vite que les autres.

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En gros ce que j'essaye d'expliquer c'est que l'on ne peut pas se fier uniquement sur un chiffre pour quantifier la difficulté, car si en 2009 34 était le cut off de med c'est que les meilleurs obtenaient 34 et si en 2030 le cut off deviens 37 c'est qu'il y auras des moyen d'obtenir de telles cotes en y mettant assez de travail et je trouve cela normal que à ce moment cela devienne le cut off.

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Comme c'est plaisant d'en appeler à cette idée qu'il faille ''s'adapter'' aux programmes les plus payants pour la cote. On voit ici une vision parfaitement mercantile et utilitaire, voire même cynique, de l'éducation. N'est pas accepté en médecine le plus intelligent, mais celui qui sait jouer ''la game'' et qui choisit l'un des 4-5 programmes qui va être payant, quitte à ne pas trop en tirer intellectuellement de l'expérience. T'as voulu choisir chimie plutôt que nutrition, biologie plutôt que physiothérapie : too bad, man, fallait être plus stratégique! Je suis peut-être idéaliste, mais il me semble que le système fonctionnerait mieux s'il donnait une latitude plus grande et ne favorisait pas les étudiants les plus cyniques, pour qui leur expérience universitaire n'a de sens que comme moyen pour rentrer en médecine. 

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Comme c'est plaisant d'en appeler à cette idée qu'il faille ''s'adapter'' aux programmes les plus payants pour la cote. On voit ici une vision parfaitement mercantile et utilitaire, voire même cynique, de l'éducation. N'est pas accepté en médecine le plus intelligent, mais celui qui sait jouer ''la game'' et qui choisit l'un des 4-5 programmes qui va être payant, quitte à ne pas trop en tirer intellectuellement de l'expérience. T'as voulu choisir chimie plutôt que nutrition, biologie plutôt que physiothérapie : too bad, man, fallait être plus stratégique! Je suis peut-être idéaliste, mais il me semble que le système fonctionnerait mieux s'il donnait une latitude plus grande et ne favorisait pas les étudiants les plus cyniques, pour qui leur expérience universitaire n'a de sens que comme moyen pour rentrer en médecine. 

Je suis entièrement en accord avec toi sur le fait que c'est un système de merde qui se met en place ou même du fait que, pour l'instant du moins, c'est loin d'être les plus intelligent qui finisse en médecin .Mais ce que tu semble ne pas avoir compris c'est que le débat parlait sur la sois distante DIFFICULTÉ croissante pour l'admission en med et les seuls deux points que j'ai avancé,(point 1)  c'est  que si t'es vraiment déterminé à rentrer en médecine tu te prend un des trois programme de la sainte trinité (physio, ergo, nutri) et tu verras que ce n'est pas plus difficile de rentrer aujourd’hui que ça ne l'était en 2005.+(point 2) Se fier sur les cotes d'admission plus basse à l'époque est une erreur.

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Je parle en connaissance de cause, car je vais moi même devoir commencer un programme en ergothérapie,alors que ça ne m’intéresse aucunement,dans le seul but de pouvoir intégrer un jour pharma ou med. Je sais que j'aurais bien plus d’intérêt pour un programme tel que psycho/kiné ou génie, mais comme tu l'a si bien dit je suis de ceux qui ont accepter de jouer la game en se pliant au règle déjas mis en place.

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Évidemment, je visais bien plus par mon message le système en question que les gens qui s'y plient. Je pense seulement que certains ne vont pas jouer le jeu par ignorance du fait que certains programmes baisent carrément leur dossier ou par intérêt pour un programme qui va les intéresser pleinement. En ce sens, je trouve cela très dommage. Je pense que la hausse de la cote R d'admission dans certains programmes s'explique en partie par ce phénomène d'inflation des cotes qui a en retour amené les étudiants à investir certaines programmes pour devenir encore plus compétitif. Dans le passé, un tel phénomène était moins prononcé, si bien qu'on peut dire que, oui, le bon étudiant standard avait plus de chance en 2009 de rentrer en MD, parce que le phénomène d'inflation des cotes était moins prononcé et qu'on avait plus de latitude au niveau des programmes choisis.

 

Bonne nuit à tous.

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Lorsqu'on veut évaluer un niveau de difficulté, il faut s'entendre préalablement sur la définition même du concept de difficulté (en lien avec la problématique), et il faut un cadre méthodologique.

 

Je pense qu'il s'agit d'une question très complexe, car l'utilisation de la "CRU" ainsi que la "quantité" d'appliquants ne sont pas des mesures fiables pour juger de cette progression.

 

Par exemple, prenons le cas fictif suivant. Imaginons qu'un programme donne 42 de "CRU" pour un 4.3/4.3. Imaginons maintenant que l'ensemble des autres programmes donne au maximum pour un 29 de "CRU". On pourrait théoriquement se ramasser avec un cut-off de 32 (plus bas qu'en ce moment), mais avec un échantillon où 100% des étudiants proviendraient d'un seul et même programme. Est-ce qu'on pourrait logiquement en venir à la conclusion qu'il est maintenant plus facile d'être admis en médecine ? J'imagine que la réponse serait qu'effectivement, pour un certain groupe "oui", et pour les autres "non".

 

Bref, je pense qu'il s'agit d'une question difficile à trancher. Je tiens aussi à préciser que plusieurs programmes n'ont pas été favorisés par le changement de calcul de l'UdeM.

 

La seule université qui nous donne un portrait relativement précis de la situation est l'UL. Les "CRU" en fonction des programmes n'ont pas tellement changés depuis 2009 et on peut observer une augmentation des "CRU" pour médecine et médecine dentaire d'année en année. Je crois que ça nous permet tout de même d'observer une certaine tendance (bien que ça soit à considérer avec une certaine réserve).

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Au contraire Clap, je pense que PremedMD a 100% raison, car si on 2016 il n'a pas pu se démarquer des meilleurs et ce frayer une place en med/pharma/... pourquoi il l'aurais plus fait en 2009.Selon moi si tu t'adapte au ''critère'' de sélection,c'est à dire tu prend le programme avec le plus haut IDF possible et que tu prend le temps de finir ton bac et (...) et que tu y met l'effort, ça devient encore plus facile que ça ne l'étai en 2009, car on possède justement ces informations qui nous permettent de nous surpasser et de partir chercher toutes les points que nos capacité et compétences nous permettes d'aller chercher.

Alain Ducasse : Parce que la compétition est féroce et la connaissance est à la portée de tous, aujourd'hui,     l' important, c' est de courir plus vite que les autres.

S'adapter aux critères de sélection en choisissant le programme avec le plus haut IDF possible? =Pas toujours cohérent avec "faire ce qu'on aime"... ça revient à mon 2e argument initial.

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Comme c'est plaisant d'en appeler à cette idée qu'il faille ''s'adapter'' aux programmes les plus payants pour la cote. On voit ici une vision parfaitement mercantile et utilitaire, voire même cynique, de l'éducation. N'est pas accepté en médecine le plus intelligent, mais celui qui sait jouer ''la game'' et qui choisit l'un des 4-5 programmes qui va être payant, quitte à ne pas trop en tirer intellectuellement de l'expérience. T'as voulu choisir chimie plutôt que nutrition, biologie plutôt que physiothérapie : too bad, man, fallait être plus stratégique! Je suis peut-être idéaliste, mais il me semble que le système fonctionnerait mieux s'il donnait une latitude plus grande et ne favorisait pas les étudiants les plus cyniques, pour qui leur expérience universitaire n'a de sens que comme moyen pour rentrer en médecine. 

My thoughts exactly

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Comme c'est plaisant d'en appeler à cette idée qu'il faille ''s'adapter'' aux programmes les plus payants pour la cote. On voit ici une vision parfaitement mercantile et utilitaire, voire même cynique, de l'éducation. N'est pas accepté en médecine le plus intelligent, mais celui qui sait jouer ''la game'' et qui choisit l'un des 4-5 programmes qui va être payant, quitte à ne pas trop en tirer intellectuellement de l'expérience. T'as voulu choisir chimie plutôt que nutrition, biologie plutôt que physiothérapie : too bad, man, fallait être plus stratégique! Je suis peut-être idéaliste, mais il me semble que le système fonctionnerait mieux s'il donnait une latitude plus grande et ne favorisait pas les étudiants les plus cyniques, pour qui leur expérience universitaire n'a de sens que comme moyen pour rentrer en médecine.

Oh right, j'avais oublié que j'étais un robot parce que j'avais commencé un bac en physio et qu'il fallait faire un bac non-connexe pour être un être humain décent.

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