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Quelles Sont Mes Chances?


Astalicia

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Bonjour!

Je n'ai pas eu un parcours régulier. Des circonstances de vie m'ont empêché de faire mes cours de math/science au secondaire et on nuit à mes résultats scolaire au cégep r=26. Je suis allé en relation d'aide, psychologie gpa 3.58, mais je ne me vois plus là dedans. J'ai fait énormément de bénévolat durant le bac en planification pour l'entrée au doc, ça m'a un peu pénalisée... (total de 800+500 heures en deux ans et demi) Je suis très motivée à aller dans le domaine de la santé, je veux refaire les cours qu'il me manque. J'hésite encore un peu sur la branche, mais je me posais des questions sur les admissions...

Si je fais science nat au cégep, est ce que ma cote de bac va être prise en considération même si je l'ai fait avant? Est-ce que vous pensez que je serais compétitif malgré le 3.58? Au besoin je compte appliquer dans le Canada anglais.

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Salut

 

Lorsque tu accumules 50 crédits universitaires, ta cote R du cégep ne compte plus. Par conséquent, ton 26 ne sera plus considéré et la cote que tu obtiendras en sciences de la nature ne sera pas considérée non plus. 

Tout ce qui comptera sera ta cote universitaire, donc malheureusement ton gpa ne sera jamais effacé. Aux écoles franco du moins...

À ce que je sache, McGill et d'autres universités hors-Québec regardent principalement la cote du deuxième bac. 

 

Bonne chance

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Bonjour Astalicia,

 

Les informations présentées par Symphonie sont correctes. Malheureusement, tes chances sont presque inexistantes étant donné ta GPA de 3,58. Un deuxième baccalauréat pourrait être une option envisageable. Et afin d'optimiser tes chances (si tu décides d'opter pour cette voie), je te conseille fortement de reprendre tes cours les moins bien réussis en psychologie, car l'université Laval et Sherbrooke regardent seulement la dernière reprise.

 

Sinon, est-ce que tu vises un programme en particulier ?

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Malheureusement, un GPA de 3.58 en psychologie n'est pas compétitif au Québec. Tu peux faire un deuxième baccalauréat pour obtenir un meilleur GPA. La plupart des universités à l'extérieur du Québec et McGill incluent seulement le GPA de ton deuxième baccalauréat.

 

Quant aux universités francophones, ton GPA en psychologie sera toujours inclus dans le calcul de la cote de rendement universitaire (CRU) donc ça va être plus difficile d'améliorer tes chances même avec un deuxième baccalauréat. Il faudrait obtenir un GPA presque parfait dans un programme fort tel que physiothérapie ou ergothérapie. 

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Tu dis ne pas savoir quelle branche en santé. Les commentaires précédents sont tous pour médecine (ou presque...). Si la réadaptation t'intéresse (physio ou ergo), avec ta cote, sans avoir à refaire tes sciences au CÉGEP, tu peux avoir accès à ces deux programmes à Sherbrooke (l'admission est particulière et pas comme les autres universités! Bref, tu as plusieurs options (orthophonie, audiologie, sc. Infirmières, physio, ergo...) autres que med, med dentaire et pharmacie dans le domaine

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Effectivement comme FreddyHeff l'a dit, il y a plusieurs domaines dans la santé (med vet, med pod, optométrie, chiro, nutrition et autres!!)

Chaque établissement a ses propres règles qui peuvent aussi varier selon la faculté.

 

En revanche, pour ULaval, tu peux toujours te fier à l'étalon afin de mesurer tes chances à cette université.

Bonne chance

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Je pense que tu ne dois pas te laisser décourager par ta cote de rendement. Ce n'est pas comme si elle était pourrie ! Je suis dans la même situation que toi: bacc en psycho avec une cote semblable. J'ai pris beaucoup d'informations sur les différentes facultés de médecine et sur les processus d'admission dans le programme de med. Ces démarches m'ont encouragée. Lorsque tu as un bacc complété, tu peux avoir une bonification de ta cote. Si tu as une maîtrise, tu as une autre bonification. De plus, rien ne t'empêche de refaire des cours pour augmenter ta cote. C'est ce que je fais actuellement et ça se passe super bien. Certaines universités ont aussi des contingents particuliers, comme Laval avec son contingent 'marché du travail'. Bref, je pense que si tu veux et que tu mets les efforts, rien n'est impossible. En tout cas, c'est ce qui me motive à poursuivre dans mon cas ;)

Bon succès !

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Je pense que tu ne dois pas te laisser décourager par ta cote de rendement. Ce n'est pas comme si elle était pourrie ! Je suis dans la même situation que toi: bacc en psycho avec une cote semblable. J'ai pris beaucoup d'informations sur les différentes facultés de médecine et sur les processus d'admission dans le programme de med. Ces démarches m'ont encouragée. Lorsque tu as un bacc complété, tu peux avoir une bonification de ta cote. Si tu as une maîtrise, tu as une autre bonification.

 

De plus, rien ne t'empêche de refaire des cours pour augmenter ta cote. C'est ce que je fais actuellement et ça se passe super bien. Certaines universités ont aussi des contingents particuliers, comme Laval avec son contingent 'marché du travail'. Bref, je pense que si tu veux et que tu mets les efforts, rien n'est impossible. En tout cas, c'est ce qui me motive à poursuivre dans mon cas ;)

 

Bon succès !

 

désolée j'ai posté 2 fois. Pas trop compris ce qui s'est passé ni comment supprimer le premier :\

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Je pense que tu ne dois pas te laisser décourager par ta cote de rendement. Ce n'est pas comme si elle était pourrie ! Je suis dans la même situation que toi: bacc en psycho avec une cote semblable. J'ai pris beaucoup d'informations sur les différentes facultés de médecine et sur les processus d'admission dans le programme de med. Ces démarches m'ont encouragée. Lorsque tu as un bacc complété, tu peux avoir une bonification de ta cote. Si tu as une maîtrise, tu as une autre bonification. De plus, rien ne t'empêche de refaire des cours pour augmenter ta cote. C'est ce que je fais actuellement et ça se passe super bien. Certaines universités ont aussi des contingents particuliers, comme Laval avec son contingent 'marché du travail'. Bref, je pense que si tu veux et que tu mets les efforts, rien n'est impossible. En tout cas, c'est ce qui me motive à poursuivre dans mon cas ;)

Bon succès !

 

 

Bonjour,

 

Effectivement, il est possible pour elle de refaire quelques cours afin de bonifier sa "CRU". Cependant, je crois tout de même que sa situation est sous-optimale pour plusieurs raisons.

 

1) L'Université de Montréal conserve l'ensemble des résultats, et de plus, elle est considérée comme non-connexe.

2) Un 4.2/4.3 en psychologie à l'UL donne à peine une entrevue (sur la peau des fesses)

3) Les candidats universitaires à Sherbrooke ont en moyenne environ 38 de "CRU" (donc encore une fois, un minimum de 4.15/4.3) est nécessaire pour être le moindrement compétitif

4) Les catégories "particulières" prennent moins de 4 étudiants à Sherbrooke et moins de 8 étudiants à Laval

 

Il ne s'agit pas d'être pessimiste, mais d'avoir une vision réelle de la situation. Selon moi, si Astalicia vise une place en médecine, elle devra tout d'abord prendre un an afin de refaire l'ensemble de ces cours les moins bien réussis (donc, obtenir des A+ dans tous ces cours), et par la suite compléter un baccalauréat dans un domaine avantageux (ergo/nutrition/etc.) afin d'avoir une chance en médecine. Et il ne faut pas oublier qu'une "CRU" compétitive ne signifie pas une admission garantie, les entrevues comptent par la suite pour 50%.

 

Bref, oui, il est tout à fait possible pour elle d'entreprendre éventuellement des études en médecine. Cependant, le chemin risque d'être long et "ardu". À partir de là, c'est à elle de juger de sa motivation et des sacrifices qu'elle est prête à faire pour se tailler "possiblement une place" en médecine.

 

Bonne chance dans vos démarches

 

P.S Sur une note plus positive, je suis moi-même un candidat avec un baccalauréat en psychologie (GPA d'environ 4.15/4.3), présentement en physiothérapie, et je compte être admis en médecine ou en médecine dentaire cette année ou l'année prochaine dans le pire des cas. C'est un chemin en dents de scie, mais qui favorise un développement personnel considérable. 

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Je suis peut-être irréaliste, mais je pense qu'un projet tel que médecine mérite qu'on y accorde du temps. Dans mon cas c'est un retour aux études. J'ai dû refaire des cours de secondaire à 32 ans, et je fais actuellement mes cours de sciences de niveau cégep. Après un bacc en psycho avec une cote ok, j'ai fait une maîtrise en counseling. Dans l'optique d'augmenter ma cote, j'ai débuté un bacc en criminologie, qui a un fort indice de force. Tout ça en travaillant à temps plein. Les gens des universités à qui je parle ne me disent pas que j'ai des chances d'être admises, mais ils ne trouvent pas non plus que le projet est irréaliste. À l'Udem par exemple, on m'a dit que 3,6 - 3,7 de cote sur 4,33 vaut de tenter sa chance.

 

Et effectivement, il y a l'entrevue qui joue pour beaucoup. Faut avoir confiance en ses capacités à ce niveau là aussi. ;) Je pense que ce qui fait la différence entre des gens admis ou non en médecine lors d'un changement de carrière ou d'études, c'est la détermination.

 

Bref, je poursuis mon projet et je t'encourage à le continuer aussi Astalicia

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Je suis peut-être irréaliste, mais je pense qu'un projet tel que médecine mérite qu'on y accorde du temps. Dans mon cas c'est un retour aux études. J'ai dû refaire des cours de secondaire à 32 ans, et je fais actuellement mes cours de sciences de niveau cégep. Après un bacc en psycho avec une cote ok, j'ai fait une maîtrise en counseling. Dans l'optique d'augmenter ma cote, j'ai débuté un bacc en criminologie, qui a un fort indice de force. Tout ça en travaillant à temps plein. Les gens des universités à qui je parle ne me disent pas que j'ai des chances d'être admises, mais ils ne trouvent pas non plus que le projet est irréaliste. À l'Udem par exemple, on m'a dit que 3,6 - 3,7 de cote sur 4,33 vaut de tenter sa chance.

 

Et effectivement, il y a l'entrevue qui joue pour beaucoup. Faut avoir confiance en ses capacités à ce niveau là aussi. ;) Je pense que ce qui fait la différence entre des gens admis ou non en médecine lors d'un changement de carrière ou d'études, c'est la détermination.

 

Bref, je poursuis mon projet et je t'encourage à le continuer aussi Astalicia

 

 

À l'UdeM, un 3,6/4,3 est nettement insuffisant (autant en psychologie qu'en criminologie) pour obtenir une entrevue en médecine. Et je ne vous trouve pas du tout irréaliste, je suis même certain qu'avec de la détermination vous allez finir par atteindre votre objectif. Je crois cependant qu'Astalicia se doit d'obtenir l'information juste afin d'être en mesure d'avoir une idée concrète des efforts qu'elle devra mettre afin de réaliser son objectif. 

 

D'une manière réaliste, Astalicia devra refaire plusieurs cours de psychologie afin d'augmenter sa GPA à plus de 4.15/4.3. Par la suite, elle devra probablement effectuer un baccalauréat (ou du moins, entamer des études) dans un domaine à "haut-IFG" afin d'être compétitive et d'avoir une chance. Il s'agit donc d'un projet de quelques années avant d'arriver à avoir accès aux entrevues. Est-ce qu'il s'agit d'un projet réaliste ? Tout à fait ! Cependant, je crois que d'initier ce projet demande tout de même une bonne capacité introspective et demande aussi une réflexion sur les concessions à faire pour ce projet.

 

Si cela peut vous aider, un 4.02/4.3 donne une "CRU" de 34.3 à l'UdeM ainsi qu'à l'UdeS. Pour l'UdeM, une CRU de 35.8 était nécessaire pour obtenir une entrevue, et pour l'UdeS, une CRU d'environ 35.7 était nécessaire pour obtenir une entrevue.

 

Bonne chance dans vos démarches

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