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Admissions med 2021 UdeS


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Guys, ne vous fiez pas trop à l’affaire de 3 convoqués pour 1 place, comme ça fait longtemps que ça n’a pas été vrai. De mon expérience (2019 et 2020), ça se ressemblait plus à soit 2 convoqués pour 1 offre, ou un peu plus que 3 convoqués pour 1 offre de 1re vague. 

Ça reste vrai pour les universitaires tho.

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7 minutes ago, keipop said:

Guys, ne vous fiez pas trop à l’affaire de 3 convoqués pour 1 offre, comme ça fait longtemps que ça n’a pas été vrai. De mon expérience (2019 et 2020), ça se ressemblait plus à soit 2 convoqués pour 1 offre, ou un peu plus que 3 convoqués pour 1 offre de 1re vague.

je comprends pas tu vx dire environ 4 pr 1 ??

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9 minutes ago, keipop said:

Guys, ne vous fiez pas trop à l’affaire de 3 convoqués pour 1 offre, comme ça fait longtemps que ça n’a pas été vrai. De mon expérience (2019 et 2020), ça se ressemblait plus à soit 2 convoqués pour 1 offre, ou un peu plus que 3 convoqués pour 1 offre de 1re vague.

ce que je comprend pas c'est en allant sur la foire aux questions de sherbrooke, ils donnent les chiffres pour les personnes se rendant au 2ième stade du processus. Pour les universitaires, ils ''convoqueraient'' 200 quelques personnes pour seulement 33 places à sherbrooke? Est-ce que quelqu'un peut me confirmer?

 

Parce que c'est bizarre je trouve de convoquer autant de gens alors que d'habitude c'est vraiment 3x nombre de places

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2 minutes ago, thagame said:

ce que je comprend pas c'est en allant sur la foire aux questions de sherbrooke, ils donnent les chiffres pour les personnes se rendant au 2ième stade du processus. Pour les universitaires, ils ''convoqueraient'' 200 quelques personnes pour seulement 33 places à sherbrooke? Est-ce que quelqu'un peut me confirmer?

 

Parce que c'est bizarre je trouve de convoquer autant de gens alors que d'habitude c'est vraiment 3x nombre de places

le 3 pour 1 c'était surtout pour ulaval. On devrait repartir le thread sur ce forum pour pas mélanger

mais t'a raison sherbrooke universitaire is like an exception vu que yon vrm pas bcp de place

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13 minutes ago, Mikasa said:

le 3 pour 1 c'était surtout pour ulaval. On devrait repartir le thread sur ce forum pour pas mélanger

mais t'a raison sherbrooke universitaire is like an exception vu que yon vrm pas bcp de place

C'est fou. 249 ''convoqués'' pour 33 places

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11 minutes ago, Medsay said:

je comprends pas tu vx dire environ 4 pr 1 ??

 
 
 
L'an dernier à ULaval
Nombre de demandes d’admission total : 2 291
Nombre de candidats ayant effectué l’examen CASPer : 1 057
 
Offres soumises aujourd’hui :
Collégiens québécois réguliers : 230 offres/136 places       
Universitaires québécois réguliers: 78 offres/78 places
 
Donc 500-ish collégiens convoqués
500/136 = 3.7
500/230 = 2.2
 
Oui on saura jamais si c'est vrm fiable, mais comme la tendance ce maintient et que ça m'a l'air très réaliste, je vais m'en tenir à ça (3:1). Savoir qu'on est dans le top X à ulaval nous permet d'estimer nos chances ailleurs dépendemment de notre cote. Car apart les côtes en bas de 31, Ulaval est la seule uni qui a dressé sa liste avec casper seulement et retirer ceux moins fort. Corrigez moi si je me trompe*
 
 
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20 minutes ago, Mikasa said:
 
 
 
L'an dernier à ULaval
Nombre de demandes d’admission total : 2 291
Nombre de candidats ayant effectué l’examen CASPer : 1 057
 
Offres soumises aujourd’hui :
Collégiens québécois réguliers : 230 offres/136 places       
Universitaires québécois réguliers: 78 offres/78 places
 
Donc 500-ish collégiens convoqués
500/136 = 3.7
500/230 = 2.2
 
Oui on saura jamais si c'est vrm fiable, mais comme la tendance ce maintient et que ça m'a l'air très réaliste, je vais m'en tenir à ça (3:1). Savoir qu'on est dans le top X à ulaval nous permet d'estimer nos chances ailleurs dépendemment de notre cote. Car apart les côtes en bas de 31, Ulaval est la seule uni qui a dressé sa liste avec casper seulement et retirer ceux moins fort. Corrigez moi si je me trompe*
 
 

Le 230 offres est le nombre d’offres de 1re vague, et de mémoire la liste d’attente s’est rendue à environ 110-120 pour Laval, alors 230 + 110 = 340 offres en total. Et comment sais-tu qu’il y a eu 500 convoqués, j’ai l’impression que c’est plus quelque chose comme 700?

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1 hour ago, thagame said:

ce que je comprend pas c'est en allant sur la foire aux questions de sherbrooke, ils donnent les chiffres pour les personnes se rendant au 2ième stade du processus. Pour les universitaires, ils ''convoqueraient'' 200 quelques personnes pour seulement 33 places à sherbrooke? Est-ce que quelqu'un peut me confirmer?

 

Parce que c'est bizarre je trouve de convoquer autant de gens alors que d'habitude c'est vraiment 3x nombre de places

Oublie pas que 33 c’est pas le nombre total d’offres typiquement transmises. L’an passé ça s’est rendu au 75e pour Sherbrooke et 82e pour Saguenay. 3x75... 225.

Sur une année normale, ils convoquent un certain nombre de candidats de plus que le nombre d’offres possible dans le but en parti de donner une chance à plus de personnes qualifiées académiquement à se classer avec les MEMs. Ce qui est ben plus fair que de couper ça aux 90 premiers de la liste avec la meilleur cote et le meilleur CASPer. 
 

Cette année ils font juste suivre la même formule, malgré que y’a aucun avantage pour les candidats sans les MEMs, c’est probablement moins compliqué de suivre leurs routine et de minimiser les changements trop drastiques.

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6 hours ago, PirouetteCacahuete said:

Oublie pas que 33 c’est pas le nombre total d’offres typiquement transmises. L’an passé ça s’est rendu au 75e pour Sherbrooke et 82e pour Saguenay. 3x75... 225.

Sur une année normale, ils convoquent un certain nombre de candidats de plus que le nombre d’offres possible dans le but en parti de donner une chance à plus de personnes qualifiées académiquement à se classer avec les MEMs. Ce qui est ben plus fair que de couper ça aux 90 premiers de la liste avec la meilleur cote et le meilleur CASPer. 
 

Cette année ils font juste suivre la même formule, malgré que y’a aucun avantage pour les candidats sans les MEMs, c’est probablement moins compliqué de suivre leurs routine et de minimiser les changements trop drastiques.

J'avoue que la distance à laquelle ça se rend dans post-entrevue, ils préfèrent certainement agrandir leurs marges. Sinon ça serait un taux d'acceptation de 80% après que tu te rends au 2ième stade du processus haha

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Bon guys je sais pas trop ou post ca mais bon je suis tombé sur le témoignage d’une fille qui m’a un peu secoué je dois l’avouer et jaimerais savoir si cest représentatif de la réalité de tous les étudiants en med ou pas . Je ne voudrais pas m’embarquer dans quelque chose sans ce genre de détail car ca me fait extrêmement peur:

Allo!

C'est une grosse question! Je n'étais pas sure de te répondre au début, car c'est assez personnel. Et puis je me suis dis que j'ai pas à être gênée de ma situation. Je ne sais pas par contre si je réponds avec la bonne technique car c'est la première fois que j'essaie ^^

 

J'ai appliqué en médecine à ma deuxième année de cégep et j'ai été accepté du premier coup à Ulaval.

J'ai adoré mon préclinique. rendu à l'externat, je n'aimais pas vraiment ça. Je trouvais rough la game de se faire valoir surtout dans les stages que je n'avais pas d'intérêts dutout. Je me disais que c'était parce que j'avais pleins de stages de spécialités compétitifs que je n'aimais pas ça et que ça serait mieux en med fam(J'ai toujours voulu faire ça ( je pensais ...) ). Un peu la même histoire dans ma résidence.Super belle gagne, mais stress de plus en plus présent, peu de temps pour activités et impressions que la médecine = me définit comme personne et le centre de ma vie très présente. Je me disais que quand je n'aurais plus à faire d'urgence et que je serais patronne ça irait mieux, que j'aurais de la liberté sur mon horaire etc... 

J'ai été pratiquée en région parce que j'aime le style de vie de la région et le plein-air. Le problème en région, c'est qu'il y a peu de médecins pour +++++ de tâches. Donc je me suis mise à travailler beaucoup trop, de garde 24/7 1 semaine sur 3, ramener du travail la fds le soir etc. en raison des PREM, AMP, exigence de chaque milieu, l'expérience et la lourdeur du travail est très différente et je suis peut-être mal tombée. Je ne veux pas décourager les gens de faire ce choix. 

Ma personnalité voulant toujours faire le max pour tous, rendait difficile de dire non. Je me rajoutais des bureaux, j'acceptais trop de plaintes donc je finissais en retard etc...

Tout ça m'a mené à des problèmes de santés mentales assez sévères pour arrêter de travailler en novembre dernier, malgré moi, car j'avais beaucoup de culpabilité de laisser mes collègues juste avant les fêtes.

 

Heureusement, avant que ma santé dégringole, j'ai appliqué en pharmacie juste avant la date limite de novembre 2020. À ce moment là dans ma tête c'était un plan B, une porte de sortie.

Je pensais revenir sur pied ultra rapidement (erreur). En janvier, il y a eut les quelques suicides dans la communauté médicale qui m'ont beaucoup touchés. J'ai accepté le fait que je n'étais pas bien dans ce travail et que ça nuisait à ma santé. Je n'aurais jamais pensé être en arrêt de travail si jeune. C'est vraiment dur pour l'estime de soi.

Les semaines ont passés et j'ai beaucoup réfléchis à ce que je voulais pour moi.

Cette décision a été extrêmement difficile à prendre. Pas facile de laisser derrière autant d'études et d'engagment. L'idée de retourner à l'école m'intéresse beaucoup, mais ça implique quand même laisser mon conjoint et ses enfants que j'adore derrière pour 4 ans...

Bref, je me suis écoutée et je suis contente de l'avoir fait. Si J'avais travailler ailleurs, je ne sais pas comment je serais en ce moment. Mon contexte de vie, mon conjoint, la région que j'adore, mon orienté vers la pharmacie et j'espère vraiment que ça va marcher, parce que c'est vraiment ce que je veux faire. Mon chum est pharmacien propriétaire, j'ai donc pu voir le travail de pharmacienne de très proche et ça correspond beaucoup plus à ce que je veux pour moi.

J'attends avec impatience ma réponse, je suis ultra déçue qu'ils aient repoussés la date...

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3 hours ago, Medsay said:

Bon guys je sais pas trop ou post ca mais bon je suis tombé sur le témoignage d’une fille qui m’a un peu secoué je dois l’avouer et jaimerais savoir si cest représentatif de la réalité de tous les étudiants en med ou pas . Je ne voudrais pas m’embarquer dans quelque chose sans ce genre de détail car ca me fait extrêmement peur:

Pour avoir passer au travers quasi tous les recoins de ce forum, la situation ne semble pas être représentative de la réalité de tous les étudiants, mais plutôt une minorité.

 

Y'a quelques points dans le témoignage d'OP qui sont importants à prendre en considération pour réaliser pourquoi :

 

1. "J'ai appliqué en médecine à ma deuxième année de cégep et j'ai été accepté du premier coup à Ulaval."

On ignore les raisons pour lesquelles OP a appliqué en médecine. C'est un avis personnel, mais se lancer en médecine à 17-18 ans dans le système d'éducation québécois est une décision assez risquée et pas toujours réfléchie. Si OP s'y est embarqué avec les mauvaises raisons ou sans raison, le burn-out était quasi prévisible.

 

2. "Je trouvais rough la game de se faire valoir surtout dans les stages"

C'est un feeling qui revient souvent des témoignages des étudiants, et c'est compréhensible puisque l'externat est un moment critique pour monter ton dossier en vue du CaRMS. Ce sentiment là est quasi inévitable, mais il est éphémère et ne devrait pas te faire tourner le dos à la médecine si tu réalises que c'est un processus obligatoire pour obtenir ta résidence de choix.

 

3. "dans les stages que je n'avais pas d'intérêts dutout"

La majorité des stages en externat se font dans des "core specialties" (ex. peds, IM, FM, surg, etc.) et un petit nombre est à option. Donc si t'as aucun intérêt dans les core specialties, évidement que tu vas manqué d'intérêt durant une bonne partie de ton externat. Par contre, si aucune des autres dizaines de spécialités t'intéressent quand vient le temps de choisir tes stages à option, c'est un red flag que la médecine est peut-être pas pour toi.

 

4. "médecine = me définit comme personne et le centre de ma vie très présente"

La charge de travail en médecine est ascendante; la résidence est l'étape la plus exigeante, et c'est encore une fois un feeling récurrent d'avoir l'impression que sa vie ne se définit que par la médecine. Par contre, plusieurs étudiants et enseignants le répètent sans cesse: pour éviter le burn-out, tu dois garder au moins une activité dans ta vie qui n'est pas liée à la médecine.

 

5. "Le problème en région, c'est qu'il y a peu de médecins pour +++++ de tâches"

C'est malheureusement une réalité pour quasi tout professionnel de la santé qui pratique en région. Par contre, encore une fois, pour être épanoui en tant qu'étudiant en médecine, résident, médecin, il faut maintenir le juste milieu entre le travail et, bref, tout ce qui n'est pas travail. Autrement, encore une fois, le burn-out est quasi inévitable et OP ne semble pas avoir su maintenir la balance. Tu peux pas sauver le monde à toi seul. Il faut apprendre à connaître ses limites, dire non et prendre du temps pour soi, sinon t'échoue à te sauver toi-même.

 

6. "j'ai donc pu voir le travail de pharmacienne de très proche et ça correspond beaucoup plus à ce que je veux pour moi."

Le train de vie d'un médecin et d'un pharmacien communautaire est extrêmement différent. Ce type de pharmacien a un horaire plus routinier et largement moins exigeant que celui d'un médecin pratiquant en région. C'est pas un secret, la médecine est une profession qui demande énormément de sacrifices, et le choix de spécialité et de lieu de résidence est souvent déterminé en fonction du mode de vie que désirent les étudiants en tant que futurs médecins. Avant d'être un quelconque employé, tu es un humain qui "vit", et si t'ignores le mode de vie dans lequel tu t'épanouis lorsque vient ton choix de carrière (à moins de t'adapter), tu risques de ne pas trouver ton bonheur quelque soit ta profession.

 

J'ai l'impression que OP a fait une série de mauvais choix au cours de son parcours, négligeant ce qu'elle veut, aime ou ce qui correspond le plus à qui elle est — ce qui l'a malheureusement menée à vivre plus de difficultés qu'elle ne le mérite. J'ignore les raisons qui ont découlé à ça, mais c'est quelque chose qui peut aussi arriver à nous tous, et c'est ce qui arrive à une minorité d'étudiants en médecine. C'est la raison pour laquelle c'est important de prendre un recul sur sa décision d'entreprendre cette carrière (ou tout autre carrière as matter of fact). L'expérience d'OP ne devrait pas te faire renoncer à la médecine, mais plutôt remettre en perspective tes ambitions et t'assurer que ton choix est fondé. Ça ne t'évitera pas des remises en question en cours de parcours ou des burn-out, mais ça pourrait t'éviter l'irréversible.

Courage à OP (et à vous tous), je lui (et vous) souhaite de trouver un chemin où elle y trouvera tout le bien qu'elle cherche et mérite.

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On 4/19/2021 at 7:47 PM, keipop said:

En 2019, ils ont envoyé ça à toutes les personnes convoquées aux MEM (moi inclus, juste pour recevoir un rang de 560-570 au final)... alors oui je te confirme que c’est bel et bien ça, ils envoient ça à tous les convoqués et ça veut pas dire grand chose.

Je n’ai pas reçu ce courriel l’année passée quand j’ai été placé sur la liste d’attente moi, mais probablement que ça ne veut rien dire:/

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1 hour ago, em234 said:

Je n’ai pas reçu ce courriel l’année passée quand j’ai été placé sur la liste d’attente moi, mais probablement que ça ne veut rien dire:/

Parce qu'il n'y avait pas de JPRM l'année passée :') (je l'ai pas reçu non plus, personne l'a eu j'pense)

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12 hours ago, Medsay said:

Bon guys je sais pas trop ou post ca mais bon je suis tombé sur le témoignage d’une fille qui m’a un peu secoué je dois l’avouer et jaimerais savoir si cest représentatif de la réalité de tous les étudiants en med ou pas . Je ne voudrais pas m’embarquer dans quelque chose sans ce genre de détail car ca me fait extrêmement peur..

 

 

image.thumb.jpeg.3c067e8263410e339dc1f89d6ea1dd16.jpeg

So touching 

 

image.gif

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7 hours ago, MK. said:

Pour avoir passer au travers quasi tous les recoins de ce forum, la situation ne semble pas être représentative de la réalité de tous les étudiants, mais plutôt une minorité.

 

Y'a quelques points dans le témoignage d'OP qui sont importants à prendre en considération pour réaliser pourquoi :

 

1. "J'ai appliqué en médecine à ma deuxième année de cégep et j'ai été accepté du premier coup à Ulaval."

On ignore les raisons pour lesquelles OP a appliqué en médecine. C'est un avis personnel, mais se lancer en médecine à 17-18 ans dans le système d'éducation québécois est une décision assez risquée et pas toujours réfléchie. Si OP s'y est embarqué avec les mauvaises raisons ou sans raison, le burn-out était quasi prévisible.

 

2. "Je trouvais rough la game de se faire valoir surtout dans les stages"

C'est un feeling qui revient souvent des témoignages des étudiants, et c'est compréhensible puisque l'externat est un moment critique pour monter ton dossier en vue du CaRMS. Ce sentiment là est quasi inévitable, mais il est éphémère et ne devrait pas te faire tourner le dos à la médecine si tu réalises que c'est un processus obligatoire pour obtenir ta résidence de choix.

 

3. "dans les stages que je n'avais pas d'intérêts dutout"

La majorité des stages en externat se font dans des "core specialties" (ex. peds, IM, FM, surg, etc.) et un petit nombre est à option. Donc si t'as aucun intérêt dans les core specialties, évidement que tu vas manqué d'intérêt durant une bonne partie de ton externat. Par contre, si aucune des autres dizaines de spécialités t'intéressent quand vient le temps de choisir tes stages à option, c'est un red flag que la médecine est peut-être pas pour toi.

 

4. "médecine = me définit comme personne et le centre de ma vie très présente"

La charge de travail en médecine est ascendante; la résidence est l'étape la plus exigeante, et c'est encore une fois un feeling récurrent d'avoir l'impression que sa vie ne se définit que par la médecine. Par contre, plusieurs étudiants et enseignants le répètent sans cesse: pour éviter le burn-out, tu dois garder au moins une activité dans ta vie qui n'est pas liée à la médecine.

 

5. "Le problème en région, c'est qu'il y a peu de médecins pour +++++ de tâches"

C'est malheureusement une réalité pour quasi tout professionnel de la santé qui pratique en région. Par contre, encore une fois, pour être épanoui en tant qu'étudiant en médecine, résident, médecin, il faut maintenir le juste milieu entre le travail et, bref, tout ce qui n'est pas travail. Autrement, encore une fois, le burn-out est quasi inévitable et OP ne semble pas avoir su maintenir la balance. Tu peux pas sauver le monde à toi seul. Il faut apprendre à connaître ses limites, dire non et prendre du temps pour soi, sinon t'échoue à te sauver toi-même.

 

6. "j'ai donc pu voir le travail de pharmacienne de très proche et ça correspond beaucoup plus à ce que je veux pour moi."

Le train de vie d'un médecin et d'un pharmacien communautaire est extrêmement différent. Ce type de pharmacien a un horaire plus routinier et largement moins exigeant que celui d'un médecin pratiquant en région. C'est pas un secret, la médecine est une profession qui demande énormément de sacrifices, et le choix de spécialité et de lieu de résidence est souvent déterminé en fonction du mode de vie que désirent les étudiants en tant que futurs médecins. Avant d'être un quelconque employé, tu es un humain qui "vit", et si t'ignores le mode de vie dans lequel tu t'épanouis lorsque vient ton choix de carrière (à moins de t'adapter), tu risques de ne pas trouver ton bonheur quelque soit ta profession.

 

J'ai l'impression que OP a fait une série de mauvais choix au cours de son parcours, négligeant ce qu'elle veut, aime ou ce qui correspond le plus à qui elle est — ce qui l'a malheureusement menée à vivre plus de difficultés qu'elle ne le mérite. J'ignore les raisons qui ont découlé à ça, mais c'est quelque chose qui peut aussi arriver à nous tous, et c'est ce qui arrive à une minorité d'étudiants en médecine. C'est la raison pour laquelle c'est important de prendre un recul sur sa décision d'entreprendre cette carrière (ou tout autre carrière as matter of fact). L'expérience d'OP ne devrait pas te faire renoncer à la médecine, mais plutôt remettre en perspective tes ambitions et t'assurer que ton choix est fondé. Ça ne t'évitera pas des remises en question en cours de parcours ou des burn-out, mais ça pourrait t'éviter l'irréversible.

Courage à OP (et à vous tous), je lui (et vous) souhaite de trouver un chemin où elle y trouvera tout le bien qu'elle cherche et mérite.

Woww merci pour cette réponse ultra précise .  C’est vrm cool que tu sois honnête à ce niveau-là pcq on a tendance à vojr le bright side de la medecine sans vrm prendre conscience de l’envers du décor . Ca m’a permis de me remettre les choses en perspective, comme quoi entrer en médecine ce n’est que la pointe de l’iceberg :’))

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8 hours ago, Medsay said:

Woww merci pour cette réponse ultra précise .  C’est vrm cool que tu sois honnête à ce niveau-là pcq on a tendance à vojr le bright side de la medecine sans vrm prendre conscience de l’envers du décor . Ca m’a permis de me remettre les choses en perspective, comme quoi entrer en médecine ce n’est que la pointe de l’iceberg :’))

Les témoignages comme ceux-là, c'est la raison pourquoi aux États-Unis, plusieurs heures d'expérience de travail clinique ET plusieurs heures d'observation du métier avec un docteur (deux facteurs séparés dans l'application) sont pratiquement des prérequis. C'est possible d'appliquer sans, mais les chances diminuent beaucoup, et c'est parce que les personnes en charge des admissions veulent des applicants qui savent exactement dans quoi ils s'embarquent, et non juste des bollés à l'école qui aiment le monde et qui cherchent une façon de maximiser leurs future earnings.

Avec un système d'admission comme celui du Québec, et je dirais même du Canada en général, ou le first-hand experience n'est pas nécéssairement pris en compte, les chances que la réalisation d'être dans le mauvais métier frappe un certain poucentage des étudiants-médecins et médecins à un moment ou un autre du processus sont assez hautes, malheureusement. 

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J'ai une question! Je me suis inscrite à la journée qu'offre UdeS, parce que je n'ai jamais fait de porte ouverte et ne connait pas grands choses à ce que les différents programmes de médecine offre. Cependant, je suis dans le contingent universitaire et je sais pertinemment que j'ai de grandes chances de ne pas être prise à UdeS comparativement à Udem et Ulaval, en raison de leur faible pourcentage de places réservées à cette catégorie. Donc, est-ce que vous pensez que si je ne suis pas prise le 29 à UdeS je peux canceller ma présence à cette journée, car ce serait ultimement une perte de temps.. 

Merci de vos réponses

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5 hours ago, WALE said:

J'ai une question! Je me suis inscrite à la journée qu'offre UdeS, parce que je n'ai jamais fait de porte ouverte et ne connait pas grands choses à ce que les différents programmes de médecine offre. Cependant, je suis dans le contingent universitaire et je sais pertinemment que j'ai de grandes chances de ne pas être prise à UdeS comparativement à Udem et Ulaval, en raison de leur faible pourcentage de places réservées à cette catégorie. Donc, est-ce que vous pensez que si je ne suis pas prise le 29 à UdeS je peux canceller ma présence à cette journée, car ce serait ultimement une perte de temps.. 

Merci de vos réponses

Honnêtement je ne crois pas trop que ce soit remboursable, mais pour confirmer essaie d'écrire à un des organisateurs de l'événement!

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8 minutes ago, keipop said:

Honnêtement je ne crois pas trop que ce soit remboursable, mais pour confirmer essaie d'écrire à un des organisateurs de l'événement!

Je ne veux pas de remboursement, je ne veux juste pas créer de désorganisation dans les équipes si jamais je ne me présente pas (:

Mais ultimemement, puisque c'est après la date de réponse, ils doivent avoir prévu le coup et savoir que plusieurs ne se présenteront pas, alors je m'en ferai pas trop! (:

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2 minutes ago, WALE said:

Je ne veux pas de remboursement, je ne veux juste pas créer de désorganisation dans les équipes si jamais je ne me présente pas (:

Moi je ne vais pas me présenter à moins que je suis seulement accepté à Sherbrooke (dernier choix) et mes amis font cela aussi! Je ne crois pas que c’est très grave étant donné que beaucoup de monde qui se sont inscrits vont être refusés le 29, donc ils s’attendent probablement à ce que du monde skippent.

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