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Admission Médecine 2017


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Je ne veux pas rajouter de l'huile sur le feu, mais j'ai eu 4.24 au bacc en psycho et je suis en dernière année de doc (à l'UL). J'ai appliqué en médecine à toutes les universités, mais j'ai été refusée à l'UdeM... CRU calculée de 35.106

Maeve, est-ce que tu as pu appliquer dans le contingent PhD avec ton doc en psycho dans les 3 universités?

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Si ça peut en rassurer quelques un, les acceptations ont commencées à sortir pour McGill (je pense depuis le 20-21 avril). Surtout pour les applicants du contingent québecois, j'imagine qu'il y aura quelques places de libérées et peut-être des demandes en entrevues pour certains sur la liste d'attente cette semaine.. ? :)

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Juger de la difficulté d'un programme c'est selon moi complètement obsolète dû à la subjectivité que ça demande. On a tous une vision biaisée selon nos forces et faiblesses de ce qui peut être difficile ou non. Je connaissais une fille qui trouvait les examens de type QCM HYPER dur, et pour moi c'est le paradis. Par contre, avec les CRU on parle d'IFG+d'écart-type donc de la difficulté qu'un étudiant aura à se démarquer des gens de son programme, et non de difficulté du programme en soi.

 

J'ai aussi envie de rajouter ma montée de lait au débat pour expliquer que je trouve que certains programmes ont cependant le désavantage d'avoir des stages notés en milieu clinique, qui pour plusieurs raisons rendent l'obtention d'une gpa compétitive vraiment plus difficile à mon avis. 

Mais je vais arrêter ici, parce que comme l'a dit Psy2017 ça sert à rien ce genre de réflexion. On est tous et toutes stressé(e)s et on peut passer des heures à essayer de comprendre pourquoi moi, pourquoi pas l'autre; pourquoi l'autre, pourquoi pas moi.

 

Et c'est compréhensible, c'est tellement frustrant appliquer en médecine, parce que quand tu te fais refuser ou mettre sur une liste d'attente, ça créée cette insécurité et ce doute de "est-ce que je suis assez bon(ne) pour être médecin?" Mais, il faut se rappeler:

1. Qu'il y a une composante chance peu importe comment tu essayes de recruter.
2. Qu'en fin de compte, le processus d'admission est imparfait et le sera toujours parce que c'est impossible de créer un algorithme parfait qui donne LA meilleure prédiction de qui sera un(e) bon(ne) médecin.

3. Qu'à chaque année d'excellent(e)s candidat(e)s sont refusé(e)s, et ce avant même les entrevues, dans n'importe quelle université.

4. Ça rajoute une expérience qui permet de construire notre résilience, notre persévérance et solidifier notre envie d'entrer en médecine. Les études qu'on fait en attendant de rentrer ne seront pas perdues, au contraire, elles finiront par influencer notre pratique, notre perception de la santé et ce qu'on considère comme étant des soins de qualité. 

 

Si ça peut aider, je me rappelle avoir lu un article d'une mère d'un étudiant en médecine. Elle racontait son expérience à une journée porte ouverte (pas au Québec, si je me rappelle bien c'était en Ontario). Bref, il y avait un professeur en médecine qui siégeait sur les comités d'admission avec qui elle discutait qui lui avait dit qu'il y a grosso-modo 3 sortes de candidats. Ceux qui sont exceptionnellement bons (des génies avec des accomplissements incroyables), ceux qui sont simplement inadéquats (genre une gpa de 2,1) et finalement la très très très grande majorité d'étudiants très bons (gpa compétitive, recherche, extracurriculars, clinical experience, good to outstanding mmi/casper scores). Dans le troisième groupe, pas mal tous les étudiants feraient des bons médecins et les départager devient si difficile que le médecin avait dit "that we accept the first hundred or the second hundred, that wouldn't change much".

 

Maintenant, c'est du ouï-dire certes, mais je pense que ça illustre bien quelque chose sur laquelle on peut pas mal tous s'entendre: un réfus en médecine n'illustre pas nécessairement ne pas avoir le potentiel d'être un bon médecin. L'essentiel, c'est d'avoir de l'autocritique et de voir les failles dans son dossier de candidature et essayer de s'améliorer sans perdre confiance en soi. 

Voilà, c'était mon 2 cents pas forcément pertinent mais j'espère aidera certaines personnes qui, comme moi, sont entrain de stresser en attente de réponse, de déprimer et/ou qui sont juste en légère crise existentielle. Je vous comprends et je pense que justement le but de ce forum c'est de s'aider, se supporter et se conseiller à travers ça. Donc, respirez profondément et comme Psy2017 l'a dit, ne laissez pas un processus administratif déterminer la valeur que vous vous accordez. Et si jamais quelqu'un a envie de parler, n'hésiter à m'envoyer un message, ça me fera plaisir qu'on partage nos inquiétudes/espoirs.

Bonne chance tout le monde!

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Juger de la difficulté d'un programme c'est selon moi complètement obsolète dû à la subjectivité que ça demande. On a tous une vision biaisée selon nos forces et faiblesses de ce qui peut être difficile ou non. Je connaissais une fille qui trouvait les examens de type QCM HYPER dur, et pour moi c'est le paradis. Par contre, avec les CRU on parle d'IFG+d'écart-type donc de la difficulté qu'un étudiant aura à se démarquer des gens de son programme, et non de difficulté du programme en soi.

 

J'ai aussi envie de rajouter ma montée de lait au débat pour expliquer que je trouve que certains programmes ont cependant le désavantage d'avoir des stages notés en milieu clinique, qui pour plusieurs raisons rendent l'obtention d'une gpa compétitive vraiment plus difficile à mon avis.

Mais je vais arrêter ici, parce que comme l'a dit Psy2017 ça sert à rien ce genre de réflexion. On est tous et toutes stressé(e)s et on peut passer des heures à essayer de comprendre pourquoi moi, pourquoi pas l'autre; pourquoi l'autre, pourquoi pas moi.

 

Et c'est compréhensible, c'est tellement frustrant appliquer en médecine, parce que quand tu te fais refuser ou mettre sur une liste d'attente, ça créée cette insécurité et ce doute de "est-ce que je suis assez bon(ne) pour être médecin?" Mais, il faut se rappeler:

1. Qu'il y a une composante chance peu importe comment tu essayes de recruter.

2. Qu'en fin de compte, le processus d'admission est imparfait et le sera toujours parce que c'est impossible de créer un algorithme parfait qui donne LA meilleure prédiction de qui sera un(e) bon(ne) médecin.

3. Qu'à chaque année d'excellent(e)s candidat(e)s sont refusé(e)s, et ce avant même les entrevues, dans n'importe quelle université.

4. Ça rajoute une expérience qui permet de construire notre résilience, notre persévérance et solidifier notre envie d'entrer en médecine. Les études qu'on fait en attendant de rentrer ne seront pas perdues, au contraire, elles finiront par influencer notre pratique, notre perception de la santé et ce qu'on considère comme étant des soins de qualité.

 

Si ça peut aider, je me rappelle avoir lu un article d'une mère d'un étudiant en médecine. Elle racontait son expérience à une journée porte ouverte (pas au Québec, si je me rappelle bien c'était en Ontario). Bref, il y avait un professeur en médecine qui siégeait sur les comités d'admission avec qui elle discutait qui lui avait dit qu'il y a grosso-modo 3 sortes de candidats. Ceux qui sont exceptionnellement bons (des génies avec des accomplissements incroyables), ceux qui sont simplement inadéquats (genre une gpa de 2,1) et finalement la très très très grande majorité d'étudiants très bons (gpa compétitive, recherche, extracurriculars, clinical experience, good to outstanding mmi/casper scores). Dans le troisième groupe, pas mal tous les étudiants feraient des bons médecins et les départager devient si difficile que le médecin avait dit "that we accept the first hundred or the second hundred, that wouldn't change much".

 

Maintenant, c'est du ouï-dire certes, mais je pense que ça illustre bien quelque chose sur laquelle on peut pas mal tous s'entendre: un réfus en médecine n'illustre pas nécessairement ne pas avoir le potentiel d'être un bon médecin. L'essentiel, c'est d'avoir de l'autocritique et de voir les failles dans son dossier de candidature et essayer de s'améliorer sans perdre confiance en soi.

 

Voilà, c'était mon 2 cents pas forcément pertinent mais j'espère aidera certaines personnes qui, comme moi, sont entrain de stresser en attente de réponse, de déprimer et/ou qui sont juste en légère crise existentielle. Je vous comprends et je pense que justement le but de ce forum c'est de s'aider, se supporter et se conseiller à travers ça. Donc, respirez profondément et comme Psy2017 l'a dit, ne laissez pas un processus administratif déterminer la valeur que vous vous accordez. Et si jamais quelqu'un a envie de parler, n'hésiter à m'envoyer un message, ça me fera plaisir qu'on partage nos inquiétudes/espoirs.

 

Bonne chance tout le monde!

J'adore!!!!

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Les réponses sont sorties le 14 avril à McGill... donc ceux qui avaient à se désister l'on probablement déjà fait malheureusement

Tu as raison my bad! Par contre la liste d'attente a defiler pas mal alors il y a en qui continue de recevoir des acceptations donc je pense quand meme qu'il aura quelques personnes sur la LA qui vont etre convoquees cette semaine!

 

Est-ce que quelqu'un a recu des nouvelles?

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Confirmed with some people I know, the cut-off for a none connexe completed bac this year, seems to have dropped, IMO it is somewhere around 35.7 compared to last year's 35.804.

 

 

Not by much. Remember when the "non-connexe" cut-off was lower than the "connexe"... I member

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How were you able to confirm this? Thanks!

I know 2 ppl that got convocations but med was not their first choice so they ended up by not paying the fees for the interviews, that way Udem closed their med choices and then they asked the cote. In both cases, it was somewhere around 35.7 they had for kiné, not sure how much they had of a GPA. But as mentioned already on this forum it seems psycho, kiné and some other none connexe completed bachelors have dropped this year. That said, maybe its even bit lower than 35.7, who knows, its all speculation nwy =^-^=

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J'ai aussi envie de rajouter ma montée de lait au débat pour expliquer que je trouve que certains programmes ont cependant le désavantage d'avoir des stages notés en milieu clinique, qui pour plusieurs raisons rendent l'obtention d'une gpa compétitive vraiment plus difficile à mon avis. 

Mais je vais arrêter ici, parce que comme l'a dit Psy2017 ça sert à rien ce genre de réflexion. On est tous et toutes stressé(e)s et on peut passer des heures à essayer de comprendre pourquoi moi, pourquoi pas l'autre; pourquoi l'autre, pourquoi pas moi.

 

Et c'est compréhensible, c'est tellement frustrant appliquer en médecine, parce que quand tu te fais refuser ou mettre sur une liste d'attente, ça créée cette insécurité et ce doute de "est-ce que je suis assez bon(ne) pour être médecin?" Mais, il faut se rappeler:

1. Qu'il y a une composante chance peu importe comment tu essayes de recruter.

2. Qu'en fin de compte, le processus d'admission est imparfait et le sera toujours parce que c'est impossible de créer un algorithme parfait qui donne LA meilleure prédiction de qui sera un(e) bon(ne) médecin.

3. Qu'à chaque année d'excellent(e)s candidat(e)s sont refusé(e)s, et ce avant même les entrevues, dans n'importe quelle université.

4. Ça rajoute une expérience qui permet de construire notre résilience, notre persévérance et solidifier notre envie d'entrer en médecine. Les études qu'on fait en attendant de rentrer ne seront pas perdues, au contraire, elles finiront par influencer notre pratique, notre perception de la santé et ce qu'on considère comme étant des soins de qualité. 

 

Si ça peut aider, je me rappelle avoir lu un article d'une mère d'un étudiant en médecine. Elle racontait son expérience à une journée porte ouverte (pas au Québec, si je me rappelle bien c'était en Ontario). Bref, il y avait un professeur en médecine qui siégeait sur les comités d'admission avec qui elle discutait qui lui avait dit qu'il y a grosso-modo 3 sortes de candidats. Ceux qui sont exceptionnellement bons (des génies avec des accomplissements incroyables), ceux qui sont simplement inadéquats (genre une gpa de 2,1) et finalement la très très très grande majorité d'étudiants très bons (gpa compétitive, recherche, extracurriculars, clinical experience, good to outstanding mmi/casper scores). Dans le troisième groupe, pas mal tous les étudiants feraient des bons médecins et les départager devient si difficile que le médecin avait dit "that we accept the first hundred or the second hundred, that wouldn't change much".

 

Maintenant, c'est du ouï-dire certes, mais je pense que ça illustre bien quelque chose sur laquelle on peut pas mal tous s'entendre: un réfus en médecine n'illustre pas nécessairement ne pas avoir le potentiel d'être un bon médecin. L'essentiel, c'est d'avoir de l'autocritique et de voir les failles dans son dossier de candidature et essayer de s'améliorer sans perdre confiance en soi. 

 

Voilà, c'était mon 2 cents pas forcément pertinent mais j'espère aidera certaines personnes qui, comme moi, sont entrain de stresser en attente de réponse, de déprimer et/ou qui sont juste en légère crise existentielle. Je vous comprends et je pense que justement le but de ce forum c'est de s'aider, se supporter et se conseiller à travers ça. Donc, respirez profondément et comme Psy2017 l'a dit, ne laissez pas un processus administratif déterminer la valeur que vous vous accordez. Et si jamais quelqu'un a envie de parler, n'hésiter à m'envoyer un message, ça me fera plaisir qu'on partage nos inquiétudes/espoirs.

 

Bonne chance tout le monde!

Bless this post!

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I know 2 ppl that got convocations but med was not their first choice so they ended up by not paying the fees for the interviews, that way Udem closed their med choices and then they asked the cote. In both cases, it was somewhere around 35.7 they had for kiné, not sure how much they had of a GPA. But as mentioned already on this forum it seems psycho, kiné and some other none connexe completed bachelors have dropped this year. That said, maybe its even bit lower than 35.7, who knows, its all speculation nwy =^-^=

J'ai eu 34.02 pour 4.08 GPA donc ils doivent avoir au minimum 4.15 ou même 4.2 de GPA pour 35.7

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Donc si je n'ai pas encore eu de nouvelles, je devrais en avoir d'ici vendredi? 

J'imagine que oui.... Si tu ne recois rien d'ici la ben tu vas comprendre par contre je pense que ce serait la moindre des choses de vous garder au courant... Mais tu as quand meme une chance si tu n'as pas encore rien eu! Je peux te demander des donnes (GPA, programme)?:) Bonne chance a toi!

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Pour l'udem, quand fait-on le choix entre le campus de Montréal et celui de la Mauricie ?

Est-ce que ceux qui seront admis en première année se retrouvent automatiquement à Montréal ?

They will give you the choice to mark which one you want more and after that where you go will depend on the places available.

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Honnêtement, je ne crois pas que tu vas trouver des individus provenant de programme de crimino ici. Et d'une université à l'autre les "CRU" sont calculées d'une manière différente. 

 

Mais bon, ça reste un programme qui semble donner des bonnes cotes aux trois universités francophones.

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Honnêtement, je ne crois pas que tu vas trouver des individus provenant de programme de crimino ici. Et d'une université à l'autre les "CRU" sont calculées d'une manière différente. 

 

Mais bon, ça reste un programme qui semble donner des bonnes cotes aux trois universités francophones.

Ah oui même à Sherbrooke ? parce que j'hésite entre kiné et crimino. Et sais-tu si les cours d'été feront parties du calcul de la CRU ? à l'udem je sais que tout les cours fais comptent peu importe le moment ou le programme, mais pour les autres universités je ne sais pas ?

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Ah oui même à Sherbrooke ? parce que j'hésite entre kiné et crimino. Et sais-tu si les cours d'été feront parties du calcul de la CRU ? à l'udem je sais que tout les cours fais comptent peu importe le moment ou le programme, mais pour les autres universités je ne sais pas ?

Moi même ayant une admission en criminologie, j'avais questionné UdeS en​ courriel afin d'avoir une idée de la CRU.Tout comme toi jy avais pensé par intérêt et comme tremplin. Ils n'ont pas voulu me dire quoi que ce soit. Bref néant total. Dans tous les cas, si le programme est comparé à psycho, voire droit, c'est une cote tout de même acceptable.

Kiné est moins bien coté que psycho à l'UdeS cette année, selon les stats trouvées ici.

UdeS et UL ne comptent pas les cours hors programme. En autant que les cours que tu feras en été font partie du bac, ils compteront dans ta CRU.

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