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Caramel

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  1. De façon générale, la majorité des UMF hors des grands centres ont des postes non comblés au premier tour. Tu peux jeter un coup d'oeil aux places disponibles au 2e tour cette année : https://www.carms.ca/match/r-1-main-residency-match/program-descriptions-second-iteration Comme le nombre d'UMF auquel on peut postuler est illimité, et qu'il n'y a qu'un seul processus de sélection centralisé pour les programmes de médecine familiale francophones, il est aussi possible d'appliquer à la fois pour des UMF en milieu urbain plus populaires et quelques unes moins populaires sans trop de tracas et avec d'excellentes chances d'avoir un poste.
  2. Lorsque j’avais appliqué en médecine il y a quelques années, je m’étais renseignée puisque j’étais aussi très près du 8 ans pour mes préalables complétés. On m’avait alors répondu que cette règle ne s’appliquait pas pour les gens ayant poursuivi des cours à l'Université dans les mêmes disciplines que les préalables. Par exemple, pas besoin de reprendre des cours de chimie et biologie du Cégep avec des études universitaires de biochimie. Pour en avoir le coeur net par rapport aux règles actuelles des facultés du domaine de la santé, il serait tout de même préférable de les contacter à cet effet puisqu’il se peut que la situation ait changée.
  3. Malheureusement, il est vrai que l'université peut exiger de reprendre des préalables faits il y a plus de 8 ans. Source : ''L’Université peut exiger qu’un candidat reprenne des cours préalables réussis il y a plus de huit ans avant le dépôt de la demande d’admission.'' https://medecine.umontreal.ca/wp-content/uploads/sites/8/2013/08/Cours_collegiaux_prealables_v5.pdf
  4. https://www.facebook.com/fmrqc/posts/4227658387295029?locale=fr_FR
  5. L’externat à l’UdeM commence en fin août et finit en fin mars un an et demi plus tard. Il comprend 72 semaines de stages et 7-8 semaines de cours (semaines campus) espacées entre les stages. Il y a des stages obligatoires de 6 semaines (médecine familiale, médecine interne, chirurgie, obstétrique, pédiatrie, psychiatrie), 4 semaines (gériatrie, urgence, médecine communautaire), 1 semaine (soins palliatifs, médecine sociale, ophtalmologie, anesthésie) et 20 semaines de stage à option. Il y a aussi la possibilité de faire l’externat longitudinal au campus de Trois-Rivières où la répartition des stage est distincte. Dans les autres universités au Québec, la répartition des stages est relativement similaire, il y a des stages qui ne sont pas obligatoires dans d’autres facultés (notamment soins palliatifs, gériatrie) ou qui ont une durée plus courte ou plus longue, mais ces quelques particularités n’ont en bout de ligne que probablement très peu d’impact sur la qualité de l’enseignement de l’externat et le taux de succès au CaRMS. Un des avantages est qu’il y a un bon moment de repos entre la fin de l’externat et le début de la résidence. Comme les stages finissent en fin mars, le mois d’avril sert pour étudier les examens du LMCC 1 et les examens finaux de l’UdeM, puis s’en suivent des vacances bien méritées de fin avril à début juillet. À ma connaissance, à McGill et Laval l’externat finit également tôt, mais à Sherbrooke, l’externat est un peu décalé puisque le pré-clinique dure un peu plus de 2 ans, et l’externat se termine vers mi-juin donc il y a moins de temps de repos avant de débuter la résidence le 1er juillet.
  6. La chirurgie est un stage obligatoire à l'externat peu importe l'université. Il y a également possibilité de rajouter des stages optionnels en chirurgie en plus du stage obligatoire.
  7. À l’externat à l’UdeM l’hospitalisation en médecine familiale fait partie du stage obligatoire de médecine familiale et l’unité d’enseignement (équivalent du CTU dans le monde anglophone) fait partie du stage obligatoire de médecine interne pour tous les milieux affiliés à l’UdeM. Également, il y a de la médecine de jour dans le stage obligatoire de pédiatrie. De plus, des stages à options sont possibles en médecine nucléaire, physiatrie, santé publique et radio-oncologie dans le réseau des hôpitaux affiliés à l'UdeM.
  8. C’est une discussion qui a lieu depuis plusieurs années parmi les différentes facultés de médecine familiale au Canada. Lors d’une rencontre cette année avec un des directeurs de médecine familiale de ma faculté, on a mentionné que la discussion était toujours sur la table, mais aucun plan n’avait été établi afin de prolonger la résidence à 3 ans à court ou moyen terme. L’un des éléments en défaveur de la prolongation de la résidence est qu’il n’y aurait pas de médecin de famille diplômé durant une année au complet, ce qui serait une situation potentiellement problématique. De plus, il existe peu de preuves concrètes que prolonger la résidence en médecine familiale diminue le risque d'erreur médicales / augmente la compétence. Cela dit, avec la situation actuelle, en plus de la possibilité de faire un R3 dans différents domaines connexes à la médecine familiale (Urgence, Soins palliatifs, Obstétrique, Toxicomanie, Médecine du sport, etc), il est toujours possible de demander à notre UMF de rajouter jusqu’à 3 mois de résidence supplémentaires après le R2 afin de parfaire nos connaissances dans des domaines qui nous intéressent, ce qui est un compromis raisonnable sans rajouter une 3e année de résidence à tous.
  9. En résidence de médecine familiale, les stages fonctionnent par bloc de 1 mois pour les stages hors UMF et bloc de 1-3 mois pour les stages UMF. En UMF, ça ressemble à du 8h30-17h du lundi au vendredi avec 3-4 gardes par mois en surplus comme charge de travail. Les gardes peuvent ressembler à un 8h à l’urgence, un 4h au SRV, souvent le soir, parfois la fin de semaine. Sinon, quand on fait une semaine d’hospitalisation en médecine familiale (environ 3 par année), on est de garde durant une semaine complète du lundi au dimanche et on a un lendemain de garde le lundi suivant, et généralement il n’y a pas d’autres gardes dans le mois où on a fait une semaine d’hospitalisation. Il y a une variabilité parmi les UMF quant au système de garde, donc c’est une bonne chose à discuter avant de choisir un UMF. Dans les stages hors UMF avec une base hospitalière comme pédiatrie, cardiologie, soins palliatifs, stages à option, il y a des gardes variables selon le service (entre 2-6 gardes par mois). Dans les stages qui fonctionnent avec des quarts de travail (Obstétrique, Urgence), on a 16 quarts de travail par mois et il n’y a pas de gardes. Par rapport à l’étude, durant la résidence en médecine familiale, il n’y a que vers avril-mai du R2 où il y a des examens (CFPC et LMCC II). Et en dehors des quelques mois qui précèdent ces examens, c’est très faisable de s’en sortir avec une quantité minimale d’étude en dehors de tes heures travaillées, puisqu’on apprend tellement en voyant les patients et qu’une partie non négligeable des journées sont passées à lire sur les cas / trouver un plan convenable. Donc nullement besoin d'avoir un horaire d'étude soutenu pour réussir durant la résidence. Sinon, les congés sont assez flexibles. On a 30 jours de congé par année que l’on peut prendre de la façon que l’on veut tant que l’on respecte un minimum de 75 % de jours travaillés par stage. Personnellement, je trouve que prendre plusieurs journées de congé éparpillées me permettent mieux de récupérer que de prendre des semaines complètes moins souvent, mais cela dépend de chaque personne. Et habiter près du lieu principal où tu travailles et fais tes gardes peut énormément contribuer à diminuer le stress du déplacement, qui est quand même non négligeable.
  10. Avant le COVID, lors des demi-journées d’immersion clinique en milieu hospitalier pendant le pré-externat, c’était tenue propre et sarrau. Et si jamais il y a un retour à ces demi-journées avec scrub obligatoire, disons que ce n’est pas très pratique de porter un chandail long en-dessous d’un scrub, le but étant d’éviter que tu apportes et ramènes des contaminants à partir de tes propres vêtements.
  11. Maintenant, à cause du COVID, le scrub est obligatoire peu importe ton stage lorsque tu es en milieu hospitalier. Il est généralement fourni par l’hôpital dans la très grande majorité des milieux donc pas de soucis pour t’en trouver. Ceci dit, les choses vont possiblement être appelées à changer pendant ton externat et un retour au code vestimentaire de l’ère pré-COVID est peut-être envisageable au courant des deux prochaines années. Dans ce cas-ci, ce sera retour au scrub pour les stages de chirurgie, obstétrique, soins intensifs, +/- urgence selon les milieux. Sinon, tenue propre pour les autres stages, donc pas de jeans, short ou t-shirt. Pour ce qui est des ballerines, certains milieux interdisaient les souliers ouverts avant le covid, tandis que d’autres le toléraient. Mais par expérience, c’est préférable d’investir dans des souliers fermés pour le confort et le risque de te salir. De plus, tu risques de beaucoup marcher à l’hôpital à moins d’être en clinique externe.
  12. Les études de médecine vont être difficiles peu importe où tu vas étudier. Autant mieux choisir une université où le programme te plait et où idéalement tu es près de tes proches. Être près de sa famille / amis / copain / copine n’a pas de prix pour toutes les fois où on a besoin de leur support moral et de se changer les idées. Et bon la réputation des universités n’a absolument aucun impact sur le résultat du CaRMS et ne devrait même pas être une considération dans la sélection à moins que vises faire une résidence à Harvard. Un MD canadien c’est un MD peu importe où tu l’as obtenu.
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