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cote r


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On pourrait s'obstiner pendant des heures sur le calcul de la cote R. Reste qu'il est totalement faux de croire que c'est un bon calcul. Il y a beaucoup trop d'impondérables pour que ce soit un système juste et équitables.

 

C'est aussi faux de croire que l'écart-type est petit, car les groupes sont parfois tellement hétérogènes. Il y en a beaucoup trop qui ont dans les 95%+ comme il y en autant du monde qui a 65% par manque de motivation, ou simplement la difficulté des examens. Tout au long de la session, les moyennes sont très élevées et dans les finaux, les profs se gâtent et mettent des examens i-m-p-o-s-s-i-b-l-e-s pour que la moyenne finale tourne alentours de 80%-83%. Tant qu'à moi, j'aime le système américain où ils font passer les élevès le MCAT, un test équitable et identique pour chaque candidat. Bon, on sait que ça ne va sûrement jamais arriver, mais bon..

 

 

Bref, c'est sûr que c'est une pensée subjective que j'aie de la Cote R, car je n'ai pas réussi à avoir une grosse (31,5), mais l'important c'est de savoir s'quon veut faire dans la vie. Si ça prend 1,2,3,4 ou même 5 ans de plus pour atteindre notre but, le sentiment de fierté sera le même que si on réussit du premier coup.

 

 

Pour les nouveaux arrivants, une Cote R reste seulement un nombre.. Si vous n'avez pas la cote R requise, ne pensez même pas une seconde à changer vos buts et vos rêves.. Tout ça peut se reprendre, et tôt ou tard, vous allez RÉUSSIR. Il n'est jamais trop tard; il faut seulement y croire..

 

Je suis pas mal d'accord avec toi pour ce qui est de la cote R qui n'est pas toujours juste et équitable. J'ai lu un article là dessus et ça m'a ouvert les yeux, voici le lien :

 

http://www.cyberpresse.ca/opinions/200909/14/01-901721-la-cote-r-un-outil-equitable-pour-les-cegepiens.php

 

De plus, sur un autre site, j'ai lu que l'une des principales lacunes, c'est que le contenu des cours et surtout la qualité de l'enseignement sont considérés comme étant similaires d'un cégep à l'autre, alors que c'est loin d'être le cas....

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Cet article a été publié pour la première fois en septembre 2009 sur Popquizz.ca et ça résume bien ma pensée...

 

Monsieur Laflamme,

 

Avant de débuter, je vous signale que je ne suis affilié à aucun groupe et que mon intérêt pour la CRC date de 1996, alors que je diplômais du cégep. Cependant, je suis un étudiant au doctorat en mesures et évaluation et c’est donc un sujet qui me touche.

 

J’ai lu avec attention votre lettre parue sur Cyberpresse. Je commencerais en vous signalant que je ne connais pas les détails de votre affaire devant les tribunaux, mais je suis assez au fait de la façon dont on calcule la CRC (cote de rendement collégial) et de son utilisation pour l’admission dans les programmes universitaires. Il est très difficile de bien comprendre la CRC sans s’y arrêter quelques minutes pour bien saisir comment le Québec en est arrivé à ce système plutôt unique d’admission. En effet, les autres systèmes scolaires utilisent, la plupart du temps, des tests d’admission (comme le SAT aux États-Unis) pour déterminer les candidats choisis dans les programmes à capacité limitée. Selon les pays, ces examens sont soit communs ou spécifiques à certaines écoles.

 

Un des principaux problèmes de ces systèmes est que ces examens sont souvent faits dans des périodes courtes et laissent donc jouer des variations de performances chez les étudiantes et les étudiants. La Québec a déjà utilisé ce type de système, mais depuis plus de 20 ans maintenant, les universités ont préféré analyser les dossiers scolaires du cégep des candidates et des candidats.

 

Pour aider la discussion, voici la formule de la CRC: CRC_Totale = Somme(CRC_Cours x Poids_Cours)/ Somme(Poids_Cours)

 

Ainsi, la CRC totale d’un étudiant est composée de la moyenne pondérée de ses CRC de l’ensemble de ses cours du collégial. Ainsi, pour chaque cours on calculera une CRC_Cours dont la formule est donc la suivante…

 

CRC_cours = (Score Z + IFG + 5) x 5

 

En regardant de plus près cette formule, on voit qu’elle est composée de deux parties: le Score Z qui est un indice statistique permettant de placer un étudiant par rapport à son groupe (le groupe étant l’ensemble des étudiants du cours dont on est en train de calculer le score Z). Le score Z va de -3 à +3.

 

La seconde partie est l’IFG (Indice de Force de Groupe) qui est souvent mal comprise et qui consiste en un indice qui permet de déterminer si le groupe est fort ou non. L’idée étant qu’un étudiant fort (score Z) dans un groupe fort devrait être récompensé et donc l’IFG sera plus grand. L’IFG est le même pour tous les étudiants du groupe_cours, bien que l’apport de chaque étudiant devrait être enlevé, l’effet est minimal sur 30 étudiants. Cet indice se calcule en prenant les notes au secondaire des étudiants qui sont maintenant rendus au cégep dans le groupe_cours de l’étudiant pour lequel on calcule la CRC. Ainsi, l’IFG cherche à représenter la force du groupe en s’appuyant sur le fait que la majorité des étudiants qui était forte au secondaire le reste au collégial.

 

L’IFG va de 0 à +2. (Vous voyez donc que si un étudiant faible est dans un groupe faible, il aura une CRC de ((-3 + 0) +5)x5 ce qui donne 10. Au contraire, un élève exceptionnel dans un groupe exceptionnel aura(théoriquement) le maximum, soit ((+3 + 2)+5)x5 ce qui donne 50.) Ajoutons que si l’étudiant est moyen dans un groupe faible, il aurait donc (théoriquement) ((0+0)+5)x5 soit 25. Notons que seuls quelques programmes universitaires demandent une CRC supérieure à cela pour être admis. (Moins de 10 programmes de baccalauréat à l’Université de Sherbrooke)

 

La mécanique de la CRC est donc de placer l’étudiant dans le groupe (score Z) et ensuite le groupe parmi les autres groupes. En regardant le fonctionnement réel de la CRC, le score Z s’oppose donc à l’IFG (et vice-versa). Comment cela? Et bien un étudiant fort dans un groupe fort aura de la difficulté à obtenir une note supérieure à la moyenne. Il aura donc un score Z plus faible, mais son groupe étant fort, son IFG sera plus élevé.

 

A contrario, un étudiant fort dans un groupe faible (du moins composé d’étudiants qui étaient faibles au secondaire) aura une note élevée par rapport à la moyenne, mais son IFG sera faible. Ainsi, contrairement au score Z utilisé dans les années 90, il est difficile de trouver une façon de « tricher » le système en choisissant un cégep ou un autre ou en choisissant un programme ou un autre. Il n’existe pas, selon mes connaissances, de recherches publiques (probablement que la CREPUQ fait des simulations) qui ont montré si l’effet de l’IFG

 

Dans votre lettre, vous soulignez cinq faiblesses de la CRC. Laissez-moi les reprendre une par une.

 

1 et 2) Manque de vérification des données transmises

 

En effet, cela est préoccupant et cela touche un des points sensibles de la CRC, c’est-à-dire, l’incapacité pour un étudiant de calculer sa propre CRC. En effet, les données nécessaires ne sont pas accessibles à chaque candidat et cela est d’autant plus vrai pour le calcul de l’IFG, qui requiert l’accès aux notes du secondaire de tous les étudiants dans le même groupe cours. Il est d’ailleurs intéressant de voir que lors de la proposition de 1996, le calcul de la CRC était plus complexe. En effet, le calcul de l’IFG n’était pas le même selon la force du groupe et son effet était donc plus grand pour les groupes forts et plus faibles pour les groupes faibles. Je ne connais pas la raison de l’abandon de cette proposition, mais entre 1996 et 2009, la CRC ne se servit pas de cette façon de faire, mais l’IFG était constant pour tous les groupes.

 

3) La règle du 100%

 

Cela montre que pour les créateurs de la CRC, le problème est toujours dans les extrêmes. Tout indice statistique possède des limites et cela est aussi vrai de la CRC. Cela est vrai dans les groupes très forts (double DEC par exemple), les petits groupes, les notes inférieures à 30% et de 100%. Cependant, cela touche un nombre très très faible d’étudiantes et d’étudiants du collégial. D’ailleurs pour certains de ces cas, des correctifs ont été déterminés, alors que pour d’autres on ne fait que faire le calcul traditionnel.

 

4 et 5) La disparité des clientèles et déjouer la CRC

 

En fait, c’est ici que votre argumentaire s’effondre (et ce, même si l’on corrige l’erreur que vous écrivez, puisque comme je l’ai montré plus haut, l’IFG est additionné au score Z et non pas multiplié). La CRC a été créée justement pour tenir compte de la disparité des clientèles des différents collèges en les plaçant sur une base de comparaison commune, soit les examens du Ministère que les étudiants font en secondaire IV et V. Ces examens sont communs pour tous les étudiants d’une cohorte et servent donc à calculer l’IFG qui corrige le score Z comme j’ai essayé de l’expliquer tout à l’heure. Contrairement à la cote Z qui a précédé la CRC comme outil d’admission universitaire, il n’existe pas de truc éprouvé pour améliorer sa CRC (sauf évidemment avoir de bonnes conditions pour étudier, ne pas travailler plus de quelques heures et se consacrez à ses études).En effet, être dans un collège où les étudiants sont sélectionnés permet d’augmenter son IFG, mais il devient plus difficile d’avoir un bon score Z.

 

Cela me permet de terminer en disant qu’il y a aujourd’hui peu de gens qui comprennent réellement la CRC… et que manifestement vous n’êtes pas du compte. En contrepartie, il est étrange qu’un système aussi important pour la sélection des candidats universitaires soit si peu étudié et questionné. Votre démarche est donc tout à votre honneur.

 

Le vrai problème… par quoi peut-on remplacer la CRC?

 

La CRC est donc un outil intéressant, commun et innovant pour l’analyse des dossiers des candidats universitaires. Il semble surtout être un meilleur système que les autres disponibles, soit les examens d’entrée par programme ou par université (imaginez que les étudiants de Sept-Îles doivent se rendre à Québec pour faire leur test d’admission), une séance d’examens communs (comme le bac français) ou l’analyse brute des dossiers des étudiants (sans la CRC). L’avantage de la CRC est d’être le cumul d’un très grand nombre de cours (au moins 20) et donc permet à un candidat de se rattraper (surtout avec les nouvelles modalités). Je sais d’ailleurs que pour les cas limites (soit une CRC très près de celle souhaitée), les universités choisissent les candidats en regardant plus à fond le dossier. Par exemple, un étudiant postulant en physique et dont les notes en éducation physique sont basses sera privilégié pour son admission en physique (par rapport au candidat présentant un dossier inverse). Il est important de rappeler que les CRC permettent de trier les candidats, mais que l’on remplit toujours les contingents d’étudiants, et que le concept de CRC minimale est tordu puisque celle-ci est seulement la CRC du dernier admis l’année précédente et non pas un critère fixe d’admission.

 

C’est un sujet très intéressant. J’écrirai un bref historique des méthodes d’admissions universitaires au Québec dans un futur proche. Je pense que cela serait pertinent. J’ai d’ailleurs laissé de côté dans le présent texte les nouveautés depuis l’admission de 2009, puisque la CREPUQ a revu différents éléments de la CRC.

 

http://pages.usherbrooke.ca/asaubin/wordpress/2010/07/11/reponse-a%C2%A0-denis-laflamme/#more-23

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Cet article a été publié pour la première fois en septembre 2009 sur Popquizz.ca et ça résume bien ma pensée...

 

Monsieur Laflamme,

 

Avant de débuter, je vous signale que je ne suis affilié à aucun groupe et que mon intérêt pour la CRC .....

 

C’est un sujet très intéressant. J’écrirai un bref historique des méthodes d’admissions universitaires au Québec dans un futur proche. Je pense que cela serait pertinent. J’ai d’ailleurs laissé de côté dans le présent texte les nouveautés depuis l’admission de 2009, puisque la CREPUQ a revu différents éléments de la CRC.

 

http://pages.usherbrooke.ca/asaubin/wordpress/2010/07/11/reponse-a%C2%A0-denis-laflamme/#more-23

 

J'avoue que le calcul de la cote de rendement semble avoir des bons côtés lorsqu'on parle d'indice de force qui vient compenser la cote Z.

 

Cependant, un élève qui était bon au secondaire n'est pas nécessairement bon au cégep et vice-versa. Lorsqu'on tient compte de ce fait, l'apport de l'indice de force n'a plus vraiment de sens. On devrait plutôt comparer les forces des étudiants entre elles au moment même ou ces étudiants sont au cégep. Si un professeur donne un cours à 3 groupes d'étudiants différents, pourquoi ne pas comparer ces trois groupes ensemble ? Un groupe ayant une moyenne plus élevée serait considéré comme plus fort qu'un groupe ayant une moyenne plus faible à ce même cours.

 

Je ne comprend pas pourquoi on ramène les notes du secondaires au cégep, puisque justement plusieurs personnes qui ne sont pas considérés comme «forts» dans l'IFG le deviennent au cégep puisque là est le moment d'avoir les meilleurs notes possibles afin d'avoir le plus de portes ouvertes dans le futur.

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De cette façon on pourrait comparer certains groupes à l'intérieur d'un cégep, et qui ont le même prof. Mais ce n'est pas possible de comparer les différents cégeps. Et personnellement, je me forçais autant au cégep qu'au secondaire et pour beaucoup c'est le cas. La méthode change plus entre cégep et université je trouve. Je connais du monde qui ne se forçait pas vrmt au secondaire et au cégep. Et là rendu à l'université, ils font tout pour réussir pcq leur cote R était caca. Bref... c'est mon avis sur la question. C'est peut-être pcq mon entourage est comme ça ...

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De cette façon on pourrait comparer certains groupes à l'intérieur d'un cégep, et qui ont le même prof. Mais ce n'est pas possible de comparer les différents cégeps. Et personnellement, je me forçais autant au cégep qu'au secondaire et pour beaucoup c'est le cas. La méthode change plus entre cégep et université je trouve. Je connais du monde qui ne se forçait pas vrmt au secondaire et au cégep. Et là rendu à l'université, ils font tout pour réussir pcq leur cote R était caca. Bref... c'est mon avis sur la question. C'est peut-être pcq mon entourage est comme ça ...

 

Pour ma part, je foutais rien au secondaire et je n'avais pas de bonnes notes. Maintenant, je suis au cégep, je me force et j'ai d'excellentes notes.J'en connais aussi plusieurs qui avaient d'excellentes notes au secondaire (95 à 100%) et qui ne sont absolument pas capable de suivre le rythme du cégep et tombe dans la moyenne.Comme quoi ce n'est pas nécessairement lié.

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Oui, très d'accord. Mais comment faire autrement? L'alternative serait de faire un examen du style MCAT, c'est-à-dire de jouer sa cote en 4 à 5 heures.

 

Ça non plus je ne suis pas d'accord. Tant qu'à ça je préfère la cote R.

 

J'avais pensé à un système qui pourrais réévaluer la force du groupe au fur et à mesure des sessions. Seulement la première session serait calculé avec l'IFG du secondaire. Les sessions suivantes seraient calculées à l'aide des cotes des sessions précédentes. Parce que, comme je disais, il y a très peu d'étudiants qui réussissent à garder le même rendement qu'au secondaire, il y aurait donc, à mon avis, un calcul qui avantagerait ceux qui réussissent encore à se démarquer.

 

De plus, comme je disais sur un autre post, il devrait y avoir des barèmes minimaux de cote R par tranche de moyenne finale (de la même façon que 100% de moyenne finale assure une cote R de 35) :

90-93 = minimum 32 de cote R

93-95 = minimum 33 de cote R

95-99 = minimum 34 de cote R

 

De cette façon, au moins, une excellente moyenne de 98 ne pourrait pas avoir 31.3 de cote R, parce que tous les autres étudiants ont aussi réussi à avoir de bons résultats.

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Cependant, un élève qui était bon au secondaire n'est pas nécessairement bon au cégep et vice-versa. Lorsqu'on tient compte de ce fait, l'apport de l'indice de force n'a plus vraiment de sens. On devrait plutôt comparer les forces des étudiants entre elles au moment même ou ces étudiants sont au cégep. Si un professeur donne un cours à 3 groupes d'étudiants différents, pourquoi ne pas comparer ces trois groupes ensemble ? Un groupe ayant une moyenne plus élevée serait considéré comme plus fort qu'un groupe ayant une moyenne plus faible à ce même cours.

 

Les groupes d'un même prof sont déjà comparés ensemble : les résultats de tous les élèves sont combinés pour faire un grand groupe. Même que si plusieurs profs donnent les mêmes évaluations, tous les élèves de tout ces profs seront mis dans le même groupe. C'est ce qui est fait à mon cegep en chimie : nous avons tous les mêmes examens et les mêmes labos, alors plutôt que d'être comparés au 90 autres élèves du prof, on est comparés au 300 élèves qui ont chimie! Ça rend l'évaluation plus juste...

 

Quant au barème, je pense quand même qu'il devrait en avoir un. Même si le cours est super facile, il devrait être possible d'avoir au moins 33, 34 de cote R avec un 95 et plus! Sinon, c'est franchement injuste pour quelqu'un qui a la malchance d'être dans de mauvais groupes...

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Les groupes d'un même prof sont déjà comparés ensemble : les résultats de tous les élèves sont combinés pour faire un grand groupe. Même que si plusieurs profs donnent les mêmes évaluations, tous les élèves de tout ces profs seront mis dans le même groupe. C'est ce qui est fait à mon cegep en chimie : nous avons tous les mêmes examens et les mêmes labos, alors plutôt que d'être comparés au 90 autres élèves du prof, on est comparés au 300 élèves qui ont chimie! Ça rend l'évaluation plus juste...

 

Quant au barème, je pense quand même qu'il devrait en avoir un. Même si le cours est super facile, il devrait être possible d'avoir au moins 33, 34 de cote R avec un 95 et plus! Sinon, c'est franchement injuste pour quelqu'un qui a la malchance d'être dans de mauvais groupes...

 

Peut-être que les évaluations sont les mêmes, mais tous n'ont pas eu le même professeur ! Imagine si un groupe a un prof qui enseigne plutôt mal et que les 2 autres ont d'excellents profs, ca ne donne pas un calcul vraiment juste.

 

Et pour ce qui est du barême, si un 98 dans un cours peut donner seulement un 31 de cote R, ce n'est pas parce que tout le monde a eu de bonnes notes dans ce cour, mais bien parce que le groupe est considéré comme étant faible ! Une note de 98 avec une moyenne de 89 te donnera une bonne cote seulement si le groupe a un fort IFG. Si tu te trouve dans un groupe ayant un IFG faible et qui a une haute moyenne, et bien adieu la grosse cote R. Autrement dit, de ce que j'en comprend, que la moyenne soit faible ou haute, ca ne change rien mis à part le fait que tu peux avoir un plus ou moins grand écart à celle-ci. La moyenne ne sert en aucun cas à déterminer si ton groupe est fort ou faible.

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Et pour ce qui est du barême, si un 98 dans un cours peut donner seulement un 31 de cote R, ce n'est pas parce que tout le monde a eu de bonnes notes dans ce cour, mais bien parce que le groupe est considéré comme étant faible ! Une note de 98 avec une moyenne de 89 te donnera une bonne cote seulement si le groupe a un fort IFG. Si tu te trouve dans un groupe ayant un IFG faible et qui a une haute moyenne, et bien adieu la grosse cote R. Autrement dit, de ce que j'en comprend, que la moyenne soit faible ou haute, ca ne change rien mis à part le fait que tu peux avoir un plus ou moins grand écart à celle-ci. La moyenne ne sert en aucun cas à déterminer si ton groupe est fort ou faible.

 

Du peu que je m'y connaisse en statistiques, une cote R de 31 pour un cours à 98% avec une moyenne de 89% impliquerait que l'écart-type du groupe est sensiblement autour de 8. Dans un groupe faible, comme tu l'assume, l'écart-type serait plus élevé.

 

Cela impliquerait qu'il y ait autant de notes à 97% qu'à 81%, d'où la cote R insatisfaisante.

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