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Étudiant qui commence le Cégep - conseils


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Honnêtement, je pense qu'avec toutes les infos que tu peux trouver sur ce forum, t'es bien parti!

 

Stress-toi pas, prends le temps de te reposer comme il faut cet été, fais de ton mieux au cégep et ça ira bien:) Il y a d'autres qui l'ont fait avant toi- il n'y a aucune raison pourquoi tu n'y arriverais pas.

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Pense à la médecine, mais pense surtout à la matiere passionante que tu découvriras d'ici la au cegep: les dérivées, les intégrales, les réaction de chimie organique, les circuits electriques en courant alternatif et l'application d'équations différentielles aux problemes de physique (je dis cela sans ironie je le pense vraiment) + toutes les sciences humaines options francais langue etc. Aborde le cegep avec une grande passion et un grand engouement et tu reussiras tres bien.

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Je ne veux pas tourner cette discussion dans un sens négatif mais selon moi, voici une question qui est mon conseil.

 

Le problème, tu vois, c'est que je ne peux comprendre comment un élève n'ayant jamais eu de contact véritable au coeur du système de la santé peut prétendre vouloir devenir médecin. Comprenez-moi, ce n'est pas un reproche mais bien une réflexion.

 

Choisir la médecine c'est formidable, mais il faut être réaliste.

 

À l'entrée du CEGEP 95% des gens en Sciences voulaient devenir médecin. Puis, à la deuxième et troisième session on décline vers d'autre professions, puisque certains réalisent ne pas avoir les notes et prétendent par la suite qu'ils n'aiment plus la médecine.

 

MA QUESTION : Pourquoi la médecine?

 

À mon avis, il n'y pas de mauvaise réponse. J'aimerais t'entendre à ce sujet mais, ne me dis pas : Pour sauver les gens, car tu seras vite déçu de constater que la magie médicale est belle à la TV mais n'existe pas.

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Je ne veux pas tourner cette discussion dans un sens négatif mais selon moi, voici une question qui est mon conseil.

 

Le problème, tu vois, c'est que je ne peux comprendre comment un élève n'ayant jamais eu de contact véritable au coeur du système de la santé peut prétendre vouloir devenir médecin. Comprenez-moi, ce n'est pas un reproche mais bien une réflexion.

 

Choisir la médecine c'est formidable, mais il faut être réaliste.

 

À l'entrée du CEGEP 95% des gens en Sciences voulaient devenir médecin. Puis, à la deuxième et troisième session on décline vers d'autre professions, puisque certains réalisent ne pas avoir les notes et prétendent par la suite qu'ils n'aiment plus la médecine.

 

MA QUESTION : Pourquoi la médecine?

 

 

 

À mon avis, il n'y pas de mauvaise réponse. J'aimerais t'entendre à ce sujet mais, ne me dis pas : Pour sauver les gens, car tu seras vite déçu de constater que la magie médicale est belle à la TV mais n'existe pas.

 

 

 

pk pas sauver les gens? Tu le dis toi meme, a ton avis, il n'y a pas de mauvaise reponse.

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Ce que je voulais dire c'est que la médecine peut aider, améliorer la qualité de vie et faire des choses extraordinaires. Mais les pertes humaines sont plus grandes que le nombre de survivants. Tout dépend des spécialités mais je trouve qu'on glorifie trop la médecine dans sa portée parce que tout n'est pas curable et le praticien est souvent contraint par des politiques internes, des déficits budgétaires, une raréfaction de main d'oeuvre ce qui fait en sorte que même si on souhaite aider au maximum un patient, le contexte nous poussera à travailler trop rapidement.

 

Bref, tout celà pour dire; visez la médecine tout en étant conscient de la réalité de la santé et vous ne serez pas déçu. Ne visez pas la médecine en pensant que c'est un monde rose de sauvetage. C'est extraordinaire et bien sûr qu'on contribue de façon immense à l'amélioration de la santé des gens. Mais ce sont des humains, il y a des salauds et l'argent est un enjeu de taille bien souvent (je ne parle pas de salaire mais du financement, des affiliations pharmaceutiques, de la crise, etc.)

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Puisque tu as posté sur le forum de Laval, j'en déduis donc que ce dernier est ton premier choix. Voici donc mes suggestion afin d'améliorer tes chances de rentrer en médecine à Laval:

 

1- La cote R: je pense que c'est probablement l'aspect le plus important de ton admission. Sincèrement, je ne pense pas que les % ont une signification importante. Ce qu'il te faut c'est 1.5 , préférablement 2 écart-type en haut de la moyenne pour tes cours: ce qui devrait te donner autour de 36-37 de cote R. (Peut-etre 38 si t'es chanceux/chanceuse).

 

2- Le bénévolat n'est pas si important pour Laval. Ce qu'il te faut ce sont des expériences personnelles qui te permettront de démontrer à quel point tu es un bon candidat. Donc, ca peut être tes sports, tes loisirs, tes voyages, tes projets personnels, tes ambitions, etc.

De plus, travaille VRAIMENT FORT sur ton QAS. Défend bien tes arguments. Commence à rédiger tôt et relis toi pour améliorer ta structure/ ton argumentation.

 

3- Si tu as eu une bonne cote R, tu devrais être convoqué aux entrevues. Personnellement, je ne pense pas que tu peux vraiment te préparer aux entrevues, bien qu'une préparation adéquate pourrait réduire ton niveau de stress et augmenter ta confiance dans l'entrevue. Bref, sois toi même, montre ta belle personnalité et alea jacta est!

 

Donc voila. Bonne chance!

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Premièrement j'en suis passionné. Le fonctionnement du corps humain (ainsi que ses dysfonctionnements) me fascine au plus haut point. Je m'amuse régulièrement à lire différents articles de sciences, apprendre différents noms de maladie, comprendre comment tout ça marche. Je suis avant tout particulièrement intéressé par la science.

 

Ensuite, je trouve que la profession de médecin est bien plus qu'un simple travail. C'est quelque chose à quoi on doit consacrer notre vie, notre âme. Je ne veux pas d'un emploi monotone, où on travaille de 8 à 4, 5 jours par semaine. Je crois que la profession de médecin est une forme de vie. On n'est pas un médecin de 8 à 4, on est médecin, point. Je sais pas si vous me comprenez pour ce qui est de ça, mais je désire une profession à laquelle on peut se dédier pleinement, consacrer notre vie, c'est bien plus qu'un simple travail.

 

Finalement, ça peut paraître ridicule, mais je ne peux tout simplement pas m'imaginer aller dans quoi que ce soit d'autre. Bien sûr, je m'intéresse à beaucoup de choses: sciences, physique, biologie, histoire, politique, sports, etc, mais tout cela est monotone en comparaison avec ce que ça peut être d'être médecin. Si je ne deviens pas médecin, je ne crois pas pouvoir être vraiment heureux dans mon travail.

 

En gros, mes raisons sont plus ou moins égoïstes, mais j'imagine qu'elles sont valables.

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Premièrement j'en suis passionné. Le fonctionnement du corps humain (ainsi que ses dysfonctionnements) me fascine au plus haut point. Je m'amuse régulièrement à lire différents articles de sciences, apprendre différents noms de maladie, comprendre comment tout ça marche. Je suis avant tout particulièrement intéressé par la science.

Ensuite, je trouve que la profession de médecin est bien plus qu'un simple travail. C'est quelque chose à quoi on doit consacrer notre vie, notre âme. Je ne veux pas d'un emploi monotone, où on travaille de 8 à 4, 5 jours par semaine. Je crois que la profession de médecin est une forme de vie. On n'est pas un médecin de 8 à 4, on est médecin, point. Je sais pas si vous me comprenez pour ce qui est de ça, mais je désire une profession à laquelle on peut se dédier pleinement, consacrer notre vie, c'est bien plus qu'un simple travail.

 

Finalement, ça peut paraître ridicule, mais je ne peux tout simplement pas m'imaginer aller dans quoi que ce soit d'autre. Bien sûr, je m'intéresse à beaucoup de choses: sciences, physique, biologie, histoire, politique, sports, etc, mais tout cela est monotone en comparaison avec ce que ça peut être d'être médecin. Si je ne deviens pas médecin, je ne crois pas pouvoir être vraiment heureux dans mon travail.

 

En gros, mes raisons sont plus ou moins égoïstes, mais j'imagine qu'elles sont valables.

 

Le travail du médecin se base sur la science mais le médecin n'est pas un scientifique (sauf ceux qui font de la recherche). La formation de médecine est de plus en plus clinique et de moins en moins scientifique d'ailleurs.

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Le travail du médecin se base sur la science mais le médecin n'est pas un scientifique (sauf ceux qui font de la recherche). La formation de médecine est de plus en plus clinique et de moins en moins scientifique d'ailleurs.

 

 

Ça n'en est pas moins captivant selon moi. On reste dans le même domaine, c'est juste qu'on en apprend sa fonction pratique, en plus de celle théorique. Certains programmes plus axés clinique tels que ceux de Sherbrooke demeurent tout de même intéressants.

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Ça n'en est pas moins captivant selon moi. On reste dans le même domaine, c'est juste qu'on en apprend sa fonction pratique, en plus de celle théorique. Certains programmes plus axés clinique tels que ceux de Sherbrooke demeurent tout de même intéressants.

 

Tant mieux alors. Je voulais juste m'assurer que tu n'entrais pas dans la médecine en pensant faire de la science parceque le métier d'un scientifique et d'un médecin sont extremement différents.

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... tes raisons, si elles sont sincères (ce dont je n'ai aucun doute), tiendront devant le comité d'admission. Cependant, avec la nouvelle formule d'entrevue (que j'ai eu la chance d'expérimenter cette année), aucune question sur les motivations des candidats. Ils recherchent avant tout des traits de personnalité, à analyser certains comportements. Je n'ai eu aucune question sur "pourquoi médecine et pas d'autres choses" ou encore "quelle(s) spécialité(s) t'intéressai(en)t" ni autre question susceptible d'aller dans ce sens (ex.: "penses-tu qu'on devrait forcer les étudiants en med à s'orienter vers la médecine familiale").

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J'ai décidé que j'allais commencer le bénévolat cet été.

 

Je peux m'arranger pour le faire dans un hôpital et j'aimerais le faire là afin de me rapprocher du milieu hospitalier.

 

Je me demandais si vous aviez des suggestions de différentes tâches que je pourrais accomplir comme bénévolat, si vous en avez déjà fait, si vous avez des expériences, etc.

 

Merci.

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je faisais du bénévolat dans un institut de réadaptation physique. En gros, j'ai fait des accompagnement de personnes pour leurs rendez-vous médicaux. Je trouvais ça plaisant de pouvoir discuter un peu avec la personne et le fait que c'était flexible comme implication. Dans certains cas, surtout avec les polytraumatisés crâniens qui ont des problèmes majeurs de mémoire, ça m'a permis de voir le système de santé sous un angle disons... "nouveau". Cependant, on ne sait jamais ça prend combien de temps. Parfois le rendez-vous a lieu à l'heure prévue... des fois 2 heures plus tard.

 

Par ailleurs, le centre proposait également de la zoothérapie et de l'hydrothérapie avec les enfants ainsi que des ateliers de Wii. J'aurais adoré pouvoir faire ça mais ça ne convenait pas dans mon horaire.

 

Bref, ce que j'ai trouvé - et ce qui m'intéressait le plus - c'était d'être en contact direct avec le/les patient(s). Je sais qu'il y a des implications où il y a moins de contact. Par exemple, de servir des repas dans des occasions spéciales ou d'aider à la location de jouets, ça ne m'aurait pas vraiment intéressée. Mais bon, discute avec le responsable du bénévolat dans l'hôpital... souvent c'est très structuré... et il t'expliquera ce qui peut te convenir selon tes intérêts.

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Sérieux, il faut que tu te tiennes occupé pendant tes années de CÉGEP. Implique-toi beaucoup, mais sérieux, si ça te fait ch*er de travail dans une boutique à l'hôpital pour pouvoir ensuite dire que tu as fait du bénévolat à l'hôpital, ne le fais pas ... Fais vraiment des activités qui t'intéressent ! CONTINUE ce que tu faisais. Le sport, la musique, peut-être un voyage ? Laisser tomber ça pour se concentrer sur ses études, C'EST CON. À titre d'exemple, moi, à ma première session, j'ai laissé tomber plusieurs activités (j'en faisait beaucoup avant), pour me "concentrer sur mes travaux". Le fait d'avoir arrêté le sport, l'écriture, le travail à temps partiel, etc. ça ne m'a RIEN apporté. J'ai eu 33,4, en ayant laissé tomber plein de trucs. Au moins, après cette session, je savais comment le CÉGEP roulait et je me suis vrmt mindé pour le 2e session. J'ai réembarqué dans plein de trucs que j'ai laissé tomber "pour mes études", j'ai vraiment eu du fun, ça m'a changé les idées, j'ai beaucoup appris, connu de nouvelles personnes, etc., et j'ai, en plus, augmenté ma cote R à 34. Donc sérieux, s'il y a un conseil que je puisse te donner, ne lâche pas ce que tu aimes faire pour les études. Et ne te forces pas à faire des choses qui parraissent bien sur un CV mais que tu n'aimes pas faire. C'est difficile de prétendre (et surtout de convaincre une autre personne) qu'une activité que tu as détesté t'as réellement apporté qqch pour la pratique de la médecine (même si sur papier, ça parraît très bien de l'avoir fait). Tu dois t'impliquer, mais dans des trucs desquels tu tires vraiment qqch. Des trucs qui t'apprennent, qui te changent les idées, qui te font relaxer, qui t'amènent qqch qu'une autre activité ne pourrait pas t'amener. T'es pas obligé d'être chef, président, whatever, de tous les comités. Mais d'avoir touché à plusieurs choses, d'avoir fait des activités parce que tu les aimes et parce qu'elles t'apportent quelque chose qui est précieux à tes yeux fait de toi une personne plus équilibrée et passionnée. 34 de cote, dans mon cas, est environ 91-92% de moyenne. À 34, tu as des chances un peu partout en médecine. Borderline, mais tu passes le cut-off. C'est très faisable, mais il faut être constant dans tous les cours. Quand tu ne t'appliques pas dans ne serait-ce qu'un cours, celui-ci peut tellllement faire chuter ta cote R facilement ... Alors force-toi dans tous tes cours, même si le français du CÉGEP est plate et long (!). C'est faisable, mais tu dois être évidemment très motivé. Bref, comme je t'ai dit, n'aie pas peur de t'embarquer dans des activités parascolaires, d'essayer de nouvelles choses et de continuer à faire ce que tu aimais avant, sans oublier que ton objectif #1 = grosses notes.

 

BONNE CHANCE. :)

 

P.S.: Shadowing = TRÈS bonne idée (dans un hôpital ou une clinique privée).

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Merci pour vos commentaires.

 

Mais pour la cote R, 92% de moyenne pour seulement 34? Si 34 c'est le minimum, j'arrive pas à croire qu'il y a autant de gens qui ont plus de 92% de moyenne, assez pour remplir toutes les universités chaque année! Avec 92%, on est probablement dans les 3 meilleurs de mon école secondaire sur plus de 200 élèves du même niveau, et c'est une école privée très forte. Y a-t-il vraiment autant de gens qui ont des moyennes de 95%?

 

Merci.

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En fait, les pourcentages ne sont qu'indicatifs au cégep. L'important, c'est ton écart par rapport à la moyenne des étudiants de tes groupes et la force respective de ce dernier. Par exemple, j'ai eu une cote R pour un cours de 41.140 avec un 86% (la moyenne était de 66%) et alors qu'un 95% m'a donné un 34 de cote dans un autre cours où la moyenne était cette fois de 82. En général, disons que si tu vises le 90 en montant, tu peux espérer une cote R qui t'ouvre les portes des entrevues en med. Ce qui compte, au final, c'est la cote, et cette dernière est établie en fonction de ta position au sein de ton groupe, la force relative de ce dernier et l'écart type du groupe.

 

Donc, l'essentiel, c'est de viser à être parmi les meilleurs dans chacun de tes groupes cours et c'est ça qui est "difficile" à faire... d'abord parce que plusieurs essaient de se démarquer et ensuite, parce que d'être la constance n'est pas toujours évidente pour plein de raisons. C'est d'ailleurs souvent cela qui fera la différence entre quelqu'un qui devra faire un bac dans une discipline x avant de pouvoir rentrer en med et quelqu'un qui rentrera directement du cégep. Suffit d'un cours en bas de la moyenne ou sur la moyenne et "l'alarme" sonne. Certains auront des difficultés en français, en philo... par manque d'intérêt, d'affinité avec la matière ou d'impondérables du genre un prof qui corrige avec la bonne vieille méthode de l'escalier.

 

Et c'est sur ce dernier point que j'insisterai. Il faut travailler fort, être motivé et avoir une vie équilibrée sans quoi ça devient facile de croire que ton avenir n'est lié qu'à une note et ne se résume qu'à ça, ce qui est un peu triste et pas très bon pour la santé mentale. Avoir des activités à l'extérieur, que tu aimes, te permettra de t'aérer l'esprit (en plus de la valeur ajoutée à ton parcours personnel). Au pire, mettons que ça ne se passe pas comme tu l'espérais, il y a la possibilité de rentrer en cours de bac et même après un bac, une maîtrise ou encore un doctorat. Les critères d'excellence scolaire restent, cependant la diversité des matières est limitée durant le parcours universitaire à des choses plus "canalisées" portant sur un thème qui t'intéresse parce que tu l'as choisi.

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J'ai déjà eu 39 de cote R avec un 91% dans un cours de philo alors que j'ai déjà eu 31 dans un cours de réflexion sur la mort avec un 87%. Les cotes R varient vraiment d'un cours à un autre selon la moyenne, l'écart-type et la force du groupe. Ce n'est pas vrai qu'une moyenne de 92% te donnera nécessairement 34, ne t'inquiète pas! Profites de ton été et rendu au cégep, fais ton maximum. Tu verras ce que ça donne et, au moins, si tu donnes tout ce que tu as, tu n'auras pas de regrets! ;)

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Si tu peux choisir tes profs, vas voir ratemyteachers.com . Ca va t'aider a avoir un % de profs merdiques inférieur à la compétition.;)

Aussi, être plus proche de l'école que les autres peut être un plus plutôt que d'être pogné longtemps dans la circulation.

 

Avoir un cégep avec des étudiants forts m'a aussi aidé parce que ca ne demandais pas 90 et plus dans chaque cours pour 32.7 de cote R (si j'aurais pas eu des 27 de cote R dans mes cours non scientifiques, j'aurais eu le 34 de cote R et plus, c'est vrai que des 37 en sciences valent rien si ta juste des 25 de cote R dans le non scientifique...).

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