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année préparatoire aux études de médecine


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What happen to student who has failed ?

Can they do some courses again to increase their GPA ?

 

They have not met the requirements.

 

I want to make it clear on that point : Premed at mcgill requires a lot of work. Your place in Medicine (med1 as we call it) is there, waiting for you, but please, do not expect an easy year like you had in CEGEP ! However, it is totaly doable if you put the effort !!!

 

I had a rough time : I had 10 "midterms" last semester and 5 finals. I've been in an exam mood for 8 consecutive weeks where mostly all I've been doing was to study for upcoming exams. Also, I had to cover the material I had not had the chance to study for subject X while studying for subject Y during the 8 weeks !

 

Having 3,5GPA is not easy to get if you take super hard courses. Since you have a lot of freedom in your course selection. Registering, for example, to an advanced organic chemistry class is not forbidden. If you want to select hard classes as your electives, you can, but should you ? I don't think so !

 

I heard that some of students who have failed, took very hard classes... others simply took their place in med1 for granted and did not work enough.

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Ça doit être plate d'étudier les sciences de base matière par matière.

Au lieu d'étudier système par système.

Exemple : système cardio : tout la biochime qui est impliqué, génétique, histologie, anatomie, physiologie, pathologie, pharmacologie, chirurgie, implication social et psychologique des maladies cardiaques, l'éthique, politique, financière etc.

Je comprend ton opinion, mais l'approche par système avec la méthode APP, c'est très différent du CÉGEP et des cours universitaires standards.

 

C'est bien beau y aller par système, mais il faut avoir une base de bio pour faire de la clinique. Tu peux pas expliquer ou comprendre l'infarctus si tu connais pas ton métabolisme et ton histologie.

 

Et entre 2 APP, t'a 2-3 jours pour étudier, l'important c'est de comprendre le phénomène dans son ensemble, pas d'apprendre tout d'un coup.

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Je comprend ton opinion, mais l'approche par système avec la méthode APP, c'est très différent du CÉGEP et des cours universitaires standards.

 

C'est bien beau y aller par système, mais il faut avoir une base de bio pour faire de la clinique. Tu peux pas expliquer ou comprendre l'infarctus si tu connais pas ton métabolisme et ton histologie.

 

Et entre 2 APP, t'a 2-3 jours pour étudier, l'important c'est de comprendre le phénomène dans son ensemble, pas d'apprendre tout d'un coup.

 

Je comprend ... mais c'est pour répliquer à Noval qui commence à chialer contre le premed ;)

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They have not met the requirements.

 

I want to make it clear on that point : Premed at mcgill requires a lot of work. Your place in Medicine (med1 as we call it) is there, waiting for you, but please, do not expect an easy year like you had in CEGEP ! However, it is totaly doable if you put the effort !!!

 

I had a rough time : I had 10 "midterms" last semester and 5 finals. I've been in an exam mood for 8 consecutive weeks where mostly all I've been doing was to study for upcoming exams. Also, I had to cover the material I had not had the chance to study for subject X while studying for subject Y during the 8 weeks !

 

Having 3,5GPA is not easy to get if you take super hard courses. Since you have a lot of freedom in your course selection. Registering, for example, to an advanced organic chemistry class is not forbidden. If you want to select hard classes as your electives, you can, but should you ? I don't think so !

 

I heard that some of students who have failed, took very hard classes... others simply took their place in med1 for granted and did not work enough.

 

I understand.

Students need a CGPA 3,5 in premed.

But do they still need a 3,5 in Med1 to get into Med2 etc.

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Je tiens juste à préciser qu'à Sherbrooke, les bases (biologie cellulaires, génétique, pharmacocinétique, biologie moléculaire) sont vues durant la première session de la première année en 2 unités ou 2 gros cours consécutifs de 5 et 6 crédits respectivement, qui sont présentées en APP ou Apprentissage Par Problème.

Donc à la place d'en voir pendant 1 an, on en voit seulement de septembre à décembre de la 1ier année. Ce qui implique qu'on à moins de cours de base, mais qui ciblent tout de même l'essentiel. On ne fait pas d'analyse de lame avec microscope et on a pas de cours de sociologie ni de philosophie, comme c'est le cas à l'udem d'après des ex-prémed!

Bref, notre base est Peut-être moins riche qu'à l'Udem, mais reste qu'elle est tout à fait complète. De toute façon, c'est le genre d'information qui prend le bord dès que la pratique devient importante, et qui ne fait pas vraiment de différence entre un étudiant de l'udem, sherbrooke ou laval.

 

À UdeM, l'année préparatoire est pertinente. Ce n'est pas juste une mise à niveau de tous les étudiants du collégial, il a beaucoup de matière enseignée en peu de temps (rétention moyenne peut-être...) qui servira durant le MD proprement dit. C'est les bases: biologie cellulaire, génétique, pharmacocinétique, biologie moléculaire, etc. Agrémenter d'éthique et sociologie de la santé.

 

L'avantage de la faire avant le MD (principe d'année-préparatoire) est de permettre une concentration plus clinique par la suite.

 

Il n'y en a pas à UdeS et UL car c'est probablement intégré au programme MD. Perso, je préfère me consacrer pleinement à ma sémiologie que d'avoir à réviser le cycle de Krebs entre 2 APP.

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Je tiens juste à préciser qu'à Sherbrooke, les bases (biologie cellulaires, génétique, pharmacocinétique, biologie moléculaire) sont vues durant la première session de la première année en 2 unités ou 2 gros cours consécutifs de 5 et 6 crédits respectivement, qui sont présentées en APP ou Apprentissage Par Problème.

Donc à la place d'en voir pendant 1 an, on en voit seulement de septembre à décembre de la 1ier année. Ce qui implique qu'on à moins de cours de base, mais qui ciblent tout de même l'essentiel. On ne fait pas d'analyse de lame avec microscope et on a pas de cours de sociologie ni de philosophie, comme c'est le cas à l'udem d'après des ex-prémed!

Bref, notre base est Peut-être moins riche qu'à l'Udem, mais reste qu'elle est tout à fait complète. De toute façon, c'est le genre d'information qui prend le bord dès que la pratique devient importante, et qui ne fait pas vraiment de différence entre un étudiant de l'udem, sherbrooke ou laval.

 

Bien d'accord avec toi Logik !! ;):D;)

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Je suis d'accord avec Logik aussi :)

La philosophie, sociologie sont des matières complètement inutiles donc je comprend pourquoi elles ne sont pas incluses dans le programme de médecine à Sherbrooke. Pas besoin pour un médecin de faire 1000 lames d'histologie pour comprendre son anatomie ou sa physiologie...:rolleyes:

Le but est cibler l'anatomie, etc... et de faire des cas cliniques...et c'est beaucoup mieux comme ça! au moins on est préparé à l'analyse des cas cliniques dès l'entrée à Sherbrooke, ce qui permet également d'aborder clairement les situations cliniques en milieu hospitalier... très intéressant

Vive Sherbrooke!

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Je suis d'accord avec Logik aussi :)

La philosophie, sociologie sont des matières complètement inutiles donc je comprend pourquoi elles ne sont pas incluses dans le programme de médecine à Sherbrooke. Pas besoin pour un médecin de faire 1000 lames d'histologie pour comprendre son anatomie ou sa physiologie...:rolleyes:

Le but est cibler l'anatomie, etc... et de faire des cas cliniques...et c'est beaucoup mieux comme ça! au moins on est préparé à l'analyse des cas cliniques dès l'entrée à Sherbrooke, ce qui permet également d'aborder clairement les situations cliniques en milieu hospitalier... très intéressant

Vive Sherbrooke!

 

Attention ce n'est pas que Logik a dit.

 

À l'UdeM, la philosophie, c'est un cours d'éthique médicale. Sociologie, c'est un cours présentant les problèmes sociaux d'aujourd'hui en lien avec la médecine: par exemple, les inégalités sociaux engendrent des inégalités de santé.

 

En médecine, l'histologie est importante. Il est utile de comprendre le fonctionnement des cellules du myocarde, d'où le besoin d'un minimum d'histologie. Sherbrooke a bien compris ça et intègre le tout dans ses APPs.

 

Avant de comprendre l'anormal, il faut comprendre le normal; ça ne peut pas se résumer à des études de cas.

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Je dirais qu'à Laval, la formule est quelque peu similaire à celle de Sherbrooke, mis à part l'APP. Les bases de sciences sont fragmentées en 3 cours de Sciences Fondamentales, mais intégrés aux sessions d'automne et d'hiver. C'est certain, la matière est assez dense et vue en peu de temps (comme là, on a eu notre premier exam de microbio-infectio il y a deux semaines, et mardi prochain c'est le final), mais la matière est ciblée et organisée dans une séquence logique avec les cours cliniques par système. On a fait de la physiologie, biochimie, pharmaco, génétique moléculaire, histo, patho, immuno, microbio et infectio.

Personnellement, je crois que d'avoir poussé la matière des cours de sciences au-delà de ce qu'on a vu aurait été peut-être un peu trop. Il faut regarder le côté pratique de la chose. Ces cours ont pour but de nous donner les bases pour comprendre les notions cliniques et les systèmes. Et les petits détails, nous les approfondissons justement dans les cours par système. :rolleyes:

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Il faudra demande à un médecin qui a gradué il y a 30 ou 40 ans, qu'est ce qu'il a appris à l'université qui lui a aidé le plus à comprendre les nouvelles maladies et les nouveaux traitements.

Selon moi, le médecin veut savoir les critères cliniques, les symptômes cliniques, les résultats de tests nécessaires pour poser un diagnostics puis les critères pour choisir le meilleur traitment.

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Je suis d'accord avec Logik aussi :)

La philosophie, sociologie sont des matières complètement inutiles donc je comprend pourquoi elles ne sont pas incluses dans le programme de médecine à Sherbrooke. Pas besoin pour un médecin de faire 1000 lames d'histologie pour comprendre son anatomie ou sa physiologie...:rolleyes:

Le but est cibler l'anatomie, etc... et de faire des cas cliniques...et c'est beaucoup mieux comme ça! au moins on est préparé à l'analyse des cas cliniques dès l'entrée à Sherbrooke, ce qui permet également d'aborder clairement les situations cliniques en milieu hospitalier... très intéressant

Vive Sherbrooke!

 

Je pense vraiment que tu exagères.

 

À mon avis l'éthique occupe une place prépondérante en médecine, où les décisions que le médecin aura à prendre au quotidien relèveront pas nécessairement uniquement des connaissances médicale.

 

Il y a plusieurs choses à prendre en compte dans une décision qui a un impact sur la vie de quelqu'un , des principes comme la bénéficience, la justice(l'équité des soins) sont important à comprendre et à mettre en pratique. L'éthique ne prétends pas donner des réponses aux enjeux qu'une personne aura à faire face, mais plutôt une piste ou une façon de faire, il y a également la culture, l'environnement social du patient et plusieurs autres facteurs qui doivent être pris en compte.

 

Pour ce qui est de la sociologie comme Noval l'a dit , c'est pour faire valoir certaines réalités du monde actuelle de manière à augmenter la perspective du médecin lorsqu'il aura à faire face à des décisions auxquelles l'éthique seule ne pourra y répondre.

 

De plus en plus , les programmes professionnels sont multidisciplinaire et je trouve ca super d'avoir des cours sur la profession médicale tel qu'elle l'est perçu dans la société, les impacts et les responsabilités que le médecin a envers elle ou encore des cours de psychologie.

 

Peut-être que tu ne comprends pas trop le rôle que l'éthique occupe en médecine puisque tu n'y as pas été confronté jusqu'a présent et que tes connaissances en la matière sont moindre, si c'est le cas , tu serais mieux de t'abstenir de commenter..

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Je maintiens à dire que la méthode de Sherbrooke rentre tout de suite dans le fond du métier de médecin et c'est le mieux à faire!

En ce qui concerne l'histologie je n'ai pas dit que ce n'est utile j'ai juste dit que ce n'était pas obligé de faire 100000 heures d'histo pour pouvoir comprendre la suite du programme de médecine.

De plus l'éthique médicale n'est pas un module inutile, il a son utilité dans le consentement éclairé du patient et autre....Mais encore une fois pas besoin de faire 1000000 heure pour comprendre les principes de bases d'un cours d'éthique

La sociologie n'est pas un cours utile selon moi mais plutôt la sociologie du patient et sa maladie pourrait mieux intéresser le médecin!

J'ai vu le programme des cours médecine de laval et montréal...franchement je trouve qu'il y a trop peu de cliniques

Comme dit Hieu, le médecin a besoin de maitriser la clinique car c'est surtout ça qu'il va utilisé tout au long de sa carrière

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Je pense vraiment que tu exagères.

 

À mon avis l'éthique occupe une place prépondérante en médecine, où les décisions que le médecin aura à prendre au quotidien relèveront pas nécessairement uniquement des connaissances médicale.

 

Il y a plusieurs choses à prendre en compte dans une décision qui a un impact sur la vie de quelqu'un , des principes comme la bénéficience, la justice(l'équité des soins) sont important à comprendre et à mettre en pratique. L'éthique ne prétends pas donner des réponses aux enjeux qu'une personne aura à faire face, mais plutôt une piste ou une façon de faire, il y a également la culture, l'environnement social du patient et plusieurs autres facteurs qui doivent être pris en compte.

 

Pour ce qui est de la sociologie comme Noval l'a dit , c'est pour faire valoir certaines réalités du monde actuelle de manière à augmenter la perspective du médecin lorsqu'il aura à faire face à des décisions auxquelles l'éthique seule ne pourra y répondre.

 

De plus en plus , les programmes professionnels sont multidisciplinaire et je trouve ca super d'avoir des cours sur la profession médicale tel qu'elle l'est perçu dans la société, les impacts et les responsabilités que le médecin a envers elle ou encore des cours de psychologie.

 

Peut-être que tu ne comprends pas trop le rôle que l'éthique occupe en médecine puisque tu n'y as pas été confronté jusqu'a présent et que tes connaissances en la matière sont moindre, si c'est le cas , tu serais mieux de t'abstenir de commenter..

 

Pour te répondre je suis peut être pas encore admis dans le programme de médecine à Sherbrooke mais je te signale que j'ai déjà fait de l'éthique médicale dans le programme de médecine en France, et je peux te dire que je maîtrise mon sujet mieux que tu ne le pense.

Encore une fois, je tiens à te préciser que c'est pas parceque tu es en médecine à Montréal ou Laval....Je sais même pas ou, que tu peux te permettre de dire que je n'ai pas des connaissances dans la matière!

d'ou tu sors ça? tu me connais ??

Je te signale que tu parles à une Pharmacien-Médecin interne diplômé de France!

Faudrait plutôt t'abstenir toi à me faire la morale sur des matières que j'ai étudié sur 12 ans au lieu de vouloir prétendre que ça y est parceque tu fais quelques heures d'éthique je sais pas ou...que hoopp!!! tu es Monsieur l'expert!

Je me permettrais de dire ce que je pense et de juger le programme que je veux car j'ai les compétences pour!

 

Donc encore une fois remballe! thanks!

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Pour te répondre je suis peut être pas encore admis dans le programme de médecine à Sherbrooke mais je te signale que j'ai déjà fait de l'éthique médicale dans le programme de médecine en France, et je peux te dire que je maîtrise mon sujet mieux que tu ne le pense.

Encore une fois, je tiens à te préciser que c'est pas parceque tu es en médecine à Montréal ou Laval....Je sais même pas ou, que tu peux te permettre de dire que je n'ai pas des connaissances dans la matière!

d'ou tu sors ça? tu me connais ??

Je te signale que tu parles à une Pharmacien-Médecin interne diplômé de France!

Faudrait plutôt t'abstenir toi à me faire la morale sur des matières que j'ai étudié sur 12 ans au lieu de vouloir prétendre que ça y est parceque tu fais quelques heures d'éthique je sais pas ou...que hoopp!!! tu es Monsieur l'expert!

Je me permettrais de dire ce que je pense et de juger le programme que je veux car j'ai les compétences pour!

 

Donc encore une fois remballe! thanks!

 

Je n'ai pas dit que tu ne connaissais rien , lit bien ce que j'ai écrit, j'ai dit que si c'était le cas tu ne serais mieux de rien dire.

 

Je ne suis pas en médecine présentement et je ne cherche pas à me vanter de quoi que ce soit , je n'ai rien à prouver à personne, mais tant qu'à moi je te mets en situation. Je suis juste quelqu'un qui lit sur la profession de médecin de manière à savoir dans quoi je m'embarque pour les 10 prochaines années de ma vie, libre à toi de déterminer si ce que je dis fait du sens ou pas..

 

Plus la médecine avance, plus il y a de traitements possible pour une maladie. Le patient préfère le traitement X alors que médicalement en tant que médecin tu lui conseilles le traitement Y. Un conflit éthique se pose où les principes de bénéficience(les meilleurs soins possible) sont opposés à ceux de l'autonomie du patient (la capacité qu'il a de choisir son propre traitement).

 

Ici ce n'est pas uniquement des connaissances médicales ou clinique que tu vas acquérir dans ton diplôme qui va te permettre de prendre une décision éclairée, mais du jugement et pour arriver à une bonne autoroute de pensée l'éthique a une bonne place à y faire.

 

Je ne sais pas pour toi, mais de mon côté l'université est davantage une école de pensée au sens où on montre aux gens comment mettre les connaissances qu'ils ont en application et donc le raisonnement qu'ils doivent arriver pour mener à une conclusion en particulier plutôt qu'un simple endroit où on te donne un paquet de connaissances.

 

Je ne veux pas t'attaquer personnellement ni ta formation, je dis juste que j'étais pas d'accord avec le propos que tu avais tenu comme quoi la sociologie et la philosophie ne devait pas occuper une place aussi importante que les connaissances médicale. La philosophie a vraiment sa place dans le cursus médicale et il ne faut pas rabaisser l'impact qu'elle peut avoir , c'était ce que je voulais passer comme message, si tu l'as vu comme une attaque à ta formation ou comme une manière de prouver de ma part quelque chose je le répète je n'ai rien à prouver à personne..

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fleur74, les cours offerts par les faculté de médecine au Québec finissent par tous se ressembler. Tous font de la cardio. Tous font de la pneumo. Tous font de l'hémato, de la néphro... C'est plutôt la méthode d'enseignement qui change d'une université à l'autre. Bref à la fin, qu'ils viennent de Montréal, Sherby ou Laval, les étudiants sortent tous du M.D. en tant que clinicens compétents et prêts à la pratique.

 

Au fait, puisque tu as une formation aussi impressionante, pourquoi refais-tu la médecine ici !? Il n'y a pas d'équivalence de diplôme? :o

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Wow ! ça brasse ici !!

 

Conflit culturelle ??

 

Fleur a probablement un Doctorat d'état en pharmacie (option pharmacie hospitalière ou internat en pharmacie).

C'est un option de 9 année d'études après le bacc (équivalent de DEC 2 ans + 8 années université).

 

À l'hôpital, Fleur travaille probablement en médecine interne ... d'où pharmacien-médecin interne.

 

L'option court pour un Doctorat d'état en pharmacie, c'est bacc + 6, soit l'équivalent DEC + 5 années unversitaires.

 

En France, beaucoup de pharmaciens font ce que font les médecins biochimistes ici (le responsable du laboratoire à l'hôpital).

 

En Belgique, même certain pharmacien qu'on appelle ¨pharmacien-biologiste¨ peut faire ce que font les pathologistes font ici !!! mais là c'est des études jusqu'à 29 ou 30 ans.

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En Belgique, même certain pharmacien qu'on appelle ¨pharmacien-biologiste¨ peut faire ce que font les pathologistes font ici !!! mais là c'est des études jusqu'à 29 ou 30 ans.

 

Hmmm. pathologique CLINIQUE, pas anatomo pathologie. Et la pathologie clinique en tant que tel n'existe pas au Québec à cause de la fusion des disciplines cliniques et de laboratoire

- l'hématologue s'occupe du lab d'hémato

-fusion microbio infectio

-Biochimiste s'occupe du lab et de la clinique (mx métaboliques, lipidologie)

-anatomopathologie, discipline seulement de laboratoire

Quand on dit pathologie, on veut dire anatomopathologie

Ailleurs au Canada et au États unis, la pathologie clinique englobe l'hémato lab (pas l'hémato clinique), la microbio (pas l'infectio) et la biochimie. Ces médecins ne font pas clinique.

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Hmmm. pathologique CLINIQUE, pas anatomo pathologie. Et la pathologie clinique en tant que tel n'existe pas au Québec à cause de la fusion des disciplines cliniques et de laboratoire

- l'hématologue s'occupe du lab d'hémato

-fusion microbio infectio

-Biochimiste s'occupe du lab et de la clinique (mx métaboliques, lipidologie)

-anatomopathologie, discipline seulement de laboratoire

Quand on dit pathologie, on veut dire anatomopathologie

Ailleurs au Canada et au États unis, la pathologie clinique englobe l'hémato lab (pas l'hémato clinique), la microbio (pas l'infectio) et la biochimie. Ces médecins ne font pas clinique.

 

J'ai vu ceci sur wikipédia : L'examen de prélèvement de tissus (anatomopathologie) est une profession distincte, uniquement accessible aux médecins (contrairement à la Belgique où une poignée de pharmaciens-biologistes ont suivi une formation en anatomo-pathologie et sont agréés en tant que tels).

 

J'ai beaucoup de doutes ... Je n'arrive pas à coroller avec d'autres sites internet.

 

En passant: connaissez-vous la formation des anesthésistes au Canada et aux États-Unis ?

Est-ce que c'est un médecin spécialiste au Canada et un infirmier spécialiste au États-Unis (CRNA) ?

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J'ai vu ceci sur wikipédia : L'examen de prélèvement de tissus (anatomopathologie) est une profession distincte, uniquement accessible aux médecins (contrairement à la Belgique où une poignée de pharmaciens-biologistes ont suivi une formation en anatomo-pathologie et sont agréés en tant que tels).

 

C'est possible alors; très suprenant toutefois! Je vais faire mes recherches de mon coté a temps perdu

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